Marché du cloche : le liste Yvert et Tellier 2026 de cotation des timbres-poste de France, comme numéroter sa amoncellement

L’écrit 2026 du liste de cotation des timbres-poste de France Yvert et Tellier en double volumes est parue. La signe internationale comme barrer la vaillance des collections comme la France recueilli au intact avec d’une cinquantaine de pages au sujet de à l’écrit précédente, une rallongement de foliotage qui n’est pas due à la particulière lancement de authentiques timbres-poste.

Benoît Gervais, PDG d’Yvert et Tellier formelle de la sorte, entre l’article qui ouvragé ce « millésime », qu’à « tout liste du 1 au 60 [les timbres parus entre 1849 et 1873, à l’effigie de Cérès, du prince-président Louis-Napoléon ou de Napoléon III], nous-mêmes avons saint une feuille. Ce qui nous-mêmes a reçu d’y attirer avec d’illustrations. La section [consacrée] au marqué « Sage » a relativement tonalité été totalement retard en feuille ». En affecté apparaît une feuilleton sur les « ambulants de France », des cabinets de forteresse installés entre des wagons spéciaux qui circulent sur les grandes plans des chemins de fer, utilisant des marques postales spéciales que l’on retrouve sur les timbres-poste. Ce qui se truchement, au intact, par une gentille trentaine de pages supplémentaires, offrant une intelligibilité améliorée.

Avec les « ambulants », ce sont alors des oblitérations en disposition de rectangle qui donnent à eux vaillance aux timbres-poste, « total d’entour réalisées en calligraphie d’phototypie raisonnablement grands dits “romaine” ensuite, dès 1854 en calligraphie avec bébés, les “bâtons”. Les savoir qui se trouvent entre ces “griffes” indiquent en mondial les abréviation des villes terme : par étalon PV incontestable Paris à Vierzon. Les losanges furent abandonnés en 1876 et remplacés par les cachets à siècle ambulants ».

Les cotes sont comprises convaincu 5 euros (par étalon BP1 « Bordeaux à Paris 1 », sur cloche de l’Empire non vaporeux) et 3 000 euros (PH1 « Paris au Havre » sur « Cérès » non vaporeux, IIe Ville).

Parlons des cotes des timbres-poste présentement, revers les « classiques » du XIXe époque regroupés entre un antérieur fascicule.

Pour les timbres-poste de la originelle projection, de 1849-1850, le antérieur cloche de France, le 20 centimes ébène sur blondasse au marqué « Cérès » fini de 675 à 700 euros, attrayant une croissance de toutes les nuances de ébène de ce cloche ou de ses « music-hall » – défauts – d’évaluation : la dipôle inversé « ébène sur alinéa » recueilli de la sorte 1 000 euros, comme parvenir 15 000 euros (le ébène sur blondasse touriste de 13 500 à 14 000 euros), lorsque que sont désormais cotées un duo de nouvelles teintes (ébène sur verdâtre basané, ébène sur ivoire).

Parmi un duo de spécifiques hausses des timbres-poste de cette vieillesse : 1 confiant rouge, de 19 500 à 20 000 euros ; 1 confiant rubicond gris, de 38 000 euros à 39 000 euros.

Le cloche fanal de la amoncellement de France, le 1 confiant écarlate, appendice de la sorte égal, à 130 000 euros, le carnet de quatre du 1 confiant écarlate vif « oisif » à 575 000 euros.

Pour la conséquence des « classiques », peu de devenirs, quand le 5 centimes vert-jaune de l’« projection de Bordeaux » qui progresse étroitement de 10 %, des nuances de bannière rencontrant désormais répertoriées.

Pour le 25 centimes firmament, si la vaillance « marqué » ne masure pas, à 8 800 euros, des nuances permettent des cotes différenciées : firmament basané sur alinéa et firmament sur blondasse à 10 000 euros, firmament basané sur blondasse à 11 000 euros.

Concernant le marqué « Sage », négatif ne masure comme le n° 73, 20 centimes firmament non émis au marqué I (1876), à 60 000 euros, total également comme le recherché 1 liard ébène sur firmament de Prusse (1880), à 18 000 euros, que l’on peut repérer entre les ventes convaincu 3 800 et 15 000 euros, conformément l’détail (centrage, côté de feuillu, côté de feuillu intacte, caoutchouc absolue, etc.).

On peut circuler au collaborateur fascicule, saint aux timbres-poste des XXe et XXIe siècles et aux « spécialités » – forteresse fine, blocs-feuillets, blocs-notes, timbres-poste surchargés CFA de La Conglomérat, timbres-poste fictifs, timbres-poste de la Libération, etc.

Le marqué « Blanc » bénéficie de un duo de hausses, les cinq premières maîtrises grappillant 1 euro (de 14 à 15 euros), la roman des cinq timbres-poste au marqué « Merson » (1900) touriste total aussi de 4 320 à 4 450 euros.

La originelle roman des « Orphelins » est à 10 350 euros moyennant 10 000 euros auparavant.

« Semeuse » rejetons, la roman de contemporain timbres-poste des années 1924-1932 qui cotait 162 euros est désormais à 165 euros. On fosse un duo de hausses là où on peut !

Le « Pont du Gard » prend 100 euros, désormais coté 2 500 euros.

Les cotes ne font pas les montant

Mais vigilance : les cotes de ce liste ne sont ni un montant reflux, ni le moirure du montant d’conquête de votre amoncellement par un consignataire ou davantage moins le montant que toi-même en tirerez à l’veine d’une cession aux encan, malheureusement une carcasse de conférence, d’discussion, d’aperçu, d’idée. Une bord n’est pas un montant de cession.

En correctif, l’variation des cotes – courbure, fermeté, croissance – indique une mesure.

En témoignent un duo de adjudications relevées entre des ventes récentes.

Ainsi, la cottage Behr propose entre sa dernière cession un 20 centimes ébène sur verdâtre (émis en 1849) à 400 euros, comme une bord liste de 1 300 euros. Un carnet de quatre du 40 centimes pomelo basané, coté 20 000 euros, est affiché à 10 400 euros. Un 25 centimes firmament au marqué « Mouchon » (1900-1901), coté 380 euros par Yvert et Tellier, est livré 180 euros.

Le Timbre sapeur-pompier, comme sa action, propose à 95 euros un 10 centimes bistre-jaune « Cérès » tamponné (palissade), coté 365 euros. Autre étalon revers le cloche au marqué « Merson » de l’étal philatélique du Havre de 1929, à 500 euros, comme une bord liste de 1 700 euros. La dipôle de « Victoire de Samothrace » (1937) fichu à 151 euros, cotée 420 euros.

Dans la prochaine cession Boule du 14 janvier, on trouve de la sorte un 20 centimes ébène « Cérès » de 1849 coté 700 euros grâce à bourgeonnement de 200 euros. Le cloche de l’Empire Napoléon III lauré non émis, « 10 » surchargé (en firmament) sur 10 centimes sombre est présenté à disparaître de 500 euros, comme une bord de 3 000 euros.

D’éloigné, « liste de cotations ou de casier ? », s’interroge le mensuel Timbres news de décembre.

Un gallup discipliné par la cottage parisienne Calves en brumaire révèle de la sorte que « 50 % des répondants n’envisagent pas d’vendre l’écrit 2026 du liste, barbarisme d’variation des cotes, et 89 % d’convaincu eux souhaitent que ces cotes soient à l’postérieur alignées sur les montant du marché – ou du moins ajustées régulièrement »… D’tant que les plateformes spécialisées sur Internet « sont en dosé de décerner des indications de montant en ancienneté efficace ».

A ce procès, le mensuel répond que « la courbure des cotes entraîne une courbure des ventes des directories, ce qui explique la réserve assidue d’Yvert »… Pour la journal, se corrompre la dernière reprise de « l’Yvert », « si c’est strictement comme les cotes, ceci n’est pas extrêmement considérable ». En correctif, « si c’est comme ordonner vos timbres-poste, comme créature informé, comme dévêtir la faute parsemé qui se obscurcit entre votre amoncellement, cette prise peut s’vérifier effroyablement bénéficiaire »… Le liste devient donc un locomotive d’interrogation universel, une intrigue que semble d’éloigné possession adopté l’publiciste amiénois au fil de ses directories les avec récents, par l’exploration ou l’adjonction, par étalon, de nouvelles rubriques.

Reprenons le fil chronologique des cotes de celui-là liste…

Le montant des années complètes permet d’en planer brièvement les futurs… puisque il y en a : 1935, 1936, 1937, 1938, 1939, 1940… ne bougent pas d’un liard. Jusqu’à l’cycle 2002, qui recueilli un euro, touriste de 162 à 163 euros (comme 97 timbres-poste), la « Marianne » de Luquet aigrelet (TVP) grappillant un duo de centimes.

Pour la conséquence, un duo de années bénéficient de menues hausses, malheureusement comme les timbres-poste oblitérés strictement : en 2003, les double séries « Portraits de régions » gagnent quiconque 5 euros ; en 2004, 5 euros de approche, naturel davantage aux dix timbres-poste de la roman « Portraits de régions ».

L’cycle 2005 ouvragé un célérifère de hausses, touriste de 312 euros à 326 euros (timbres-poste neufs) et de 124 à 134 euros (oblitérés) : 2006 (+ 1 euro), 2007 (+ 1 euro), 2008 (+ 12 euros). Puis, négatif… jusqu’à l’cycle 2011… qui perd 3 euros !

En démesuré, la fermeté l’emporte comme les années suivantes (un abrégé + 3 euros comme 2016).

L’cycle 2019 voit un duo de maîtrises fanaux aventurer : « Marianne » Datamatrix violine, légendées Philaposte et Phil@forteresse (6,50 et 7,50 euros au secteur de 5 et 6 euros, emprisonné aux comptes !) ; bloc-feuillet du 10e mémento du Carré d’Encre, la vivier philatélique parisienne de La Poste (de 38 à 44 euros), livré à l’temps grâce à 10 euros.

Le nanti La Cérès (2019) remorqué à 6 000 exemplaires (montant de cession à l’temps : 29 euros) est désormais coté 420 euros (+ 20 euros). Le cahier autonome intime entre celui-là touriste de 380 à 400 euros. A 280 euros, le cahier de 150 timbres-poste à 0,20 euro (170e mémento du antérieur cloche métropolitain, en cession au Salon philatélique vernal en 2019) ne masure pas…

Les années les avec récentes enregistrent un duo de ajustements « machinaux » : émis en 2021, cahier « France-Japon. Les boîtes aux savoir » (+ 5 euros), cahier « La Semeuse rejetons » (+ 10 euros) ; émis en 2023, cahier « Victoire de Samothrace » (+ 30 euros)…

Passons aux « spécialités »… La feuilleton des « vignettes autoadhésifs » préludé un duo de charmants constats convaincu maîtrises faciales d’entrée et cotes actuelles (invariable ou en bénigne croissance), également :

– Timbre « Anniversaire » Bécassine (2005) au répertoire de la initiale de 20 grammes, à 150 euros ;

– les 21 « Marianne » de Lamouche (2006-2007), du 0,01 euro blondasse au 2,11 euros gris, à 900 euros ;

– parus en 2008, les incontournables timbres-poste de la roman beau à 1,33 euro « Gérard Garouste » et « Honoré Daumier », cotés respectivement 65, 185 et 295 euros et le 0,85 euro « Galerie des Glaces », à 65 euros ;

– « Marianne » de Beaujard (2010), six maîtrises, de 60 à 62 euros (comme 7,62 euros de vaillance faciale), la roman courant gommée cotant 24 euros strictement ;

– « Marianne » de Ciappa et Kawena sorte 3D (2013), conditionnée en collector (à l’temps, vaillance du cloche autonome, 0,58 euro comme un montant de cession du collector à 2 euros), de 48 à 50 euros ;

– roman « Les bébés bonheurs » (2013), de 30 à 36 euros ;

– « La Seine au gaillard du Carrousel », de Jean Dufy (2014), de 28 à 30 euros ;

– cahier « La neuve France fabricante » (2014), de 75 à 85 euros, comme un montant de cession d’entrée à La Poste à 11,76 euros (0,98 euro x 12) ;

– cahier « Caisse des effondrilles » (2016), 1er imprimerie, de 185 à 190 euros ;

– agenda « Correspondances planétaires » de douze timbres-poste, de Guy Coda (2016), de 30 à 36 euros ;

– les blocs-notes « Le nu entre l’art », « Eclosion », « Croix-Rouge » (C215), « Astérix » (2019), en approche entiers de 4 ou 6 euros, également assemblée de blocs-notes ultérieurs.

Le agenda de timbres-poste de vœux de 2016, relativement sien, perd 12 euros, à 60 euros désormais.

La fermeté prévaut comme les timbres-poste de forteresse fine, les blocs-notes séculaires, les timbres-poste comme paquetage postaux, les « préoblitérés », les timbres-poste de La Conglomérat surchargés CFA, les blocs-feuillets, les blocs biographie – le 75e mémento du troupe de traque Normandie-Niémen et le antique de la querelle de Verdun (2017) encaissant total aussi 5 euros, à 60 euros.

Les hausses bénéficient aux blocs-notes d’décati reflux « Marianne » avec récents, à disparaître de la « Marianne » de Briat, jusqu’à discordantes dizaines d’euros.

La feuilleton des timbres-poste de belligérance est absolument remaniée, revers l’adjonction de nouvelles maîtrises surchargées « Besetztes Gebiet Nordfrankreich » (« Zone d’envahissement hyperboréen de la France ») de Dunkerque et Coudekerque en 1940 : « Après l’ruissellement des troupes alliées des plages de Dunkerque abords l’Angleterre en mai-juin 1940, les forces allemandes occupent Dunkerque (…). Le munificence postal nanti été cloué entre la land, il est demandé aux autorités allemandes la suite du munificence. Ce moderne est officiel à la préalable de fixer le coche aux correspondances familiales et que les timbres-poste soient surchargés d’un salaire égoïste. » Cachet qui prend la disposition d’une surcroît apposée sur les timbres-poste de l’temps (aux bonshommes « Mercure », « Paix », etc.), voyant un duo de différences en place du secteur d’habitude, à Coudekerque (conteneur de la surcroît revers des bords à angles pouvoirs) et à Dunkerque (angles arrondis), pratiqué du 1er juillet au 10 août 1940, la suite du agiotage postal en piaculaire remuante reprenant subséquemment couramment. Les cotes de ces timbres-poste oscillent convaincu 140 et 12 000 euros, en place de à eux existence et de à eux décati, les avec spécifiques émanant de Coudekerque.

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