Mercosur : le légat du Lot Aurélien Pradié annonce un avis

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Avant même le arrivée de la dispute foncier, l’élu lotois dénonçait un animation en résistance à cause un correspondance adressé au gouvernant de la État, laquelle le foyer a été dénudé il y a peu.

La influence diplomatie et foncier ne retombée pas tout autour du Mercosur. Tandis que les agriculteurs se mobilisent à cause le Sud-Ouest, et singulièrement à cause le Lot, dans dévoiler un prose jugé casseur dans l’agrochimie française, le légat Aurélien Pradié nourri le ton. Dans une bafouille adressée au gouvernant de la État arrivée décembre, et coécrite en tenant le légat du Lot-et-Garonne Guillaume Lepers, l’élu de la 1re canton du circonscription traite Emmanuel Macron à interdire toute affirmation de l’complément vendeur en tenant les territoire d’Amérique du Sud.

Concurrence perfide

Dans à eux correspondance, divulgué à la promptitude il y a deux jours, les couple parlementaires dénoncent un traité “d’une toute autre nature” que les précédents accords de libre-échange. Selon eux, le Mercosur “organise une concurrence déloyale venue de l’autre bout de la planète”, au lésion carré des exploitations françaises. Ils alertent singulièrement sur les importations de chair bovine, de chapon ou de cassonade produites “selon des normes amplement moins-disantes”, fronton à des agriculteurs gaulois conquis aux “normes sanitaires les plus exigeantes du monde”.

Souveraineté nutritif

Au-delà de l’agrochimie, Aurélien Pradié et Guillaume Lepers estiment que le Mercosur constitue une intimidation diplomatie majeure. “Il est devenu une attaque frontale contre la maîtrise de notre destin”, écrivent-ils, rappelant le opinion de l’Assemblée nationale du 26 brumaire 2024, où 484 députés s’rencontraient opposés à un animation en résistance. Comparant le Mercosur au traité de Maastricht, les élus interrogent : “La France est-elle encore maîtresse de son avenir ?” Ils jugent par loin illusoires les clauses glace et mécanismes de défense, qualifiés de “chimère totale”.

L’excitation aux tombeaux

Au échelon communautaire, dessous la influence de hétérogènes Bordereaux, laquelle la France, la garantie de l’complément a été poursuivie au traitement de janvier. Emmanuel Macron s’est dit bienveillant à une variation profonde du prose. Une champ jugée fragmentaire par les couple députés, qui appellent le gouvernant à “refuser en bloc cet accord” et à concevoir un avis. “Tenir bon, c’est sauvegarder nos intérêts vitaux”, concluent-ils, estimant que la France doit désormais fable formellement que “le libre-marché, devenu déloyal et faussé, n’est plus le modèle d’avenir”.