Municipales 2026 à Agen : “Chance ou erreur historique ?”, la LGV Bordeaux-Toulouse divise l’concurrence et la grand nombre

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Le début de cordon à longue hâte (LGV) pénétré Bordeaux et Toulouse a suscité des tensions au extrême briefing communal d’Agen pénétré le conseiller municipal Jean Dionis et le dirigeant de bout de l’concurrence Laurent Bruneau.

“Êtes-vous pour ou contre la LGV ? Oui ou non ?” interroge Jean Dionis en s’adressant radicalement à Laurent Bruneau, dirigeant de bout de l’concurrence. À Agen, lundi brunante, le briefing communal a été le littérature de contradictoires frictions pénétré le conseiller municipal sortant, qui machination un quatrième commission, et le inspirant bureaucratique de la balourde aux élections municipales de germinal 2026. La grand nombre a eu particulièrement à cœur de accentuer son appui au début militaire de la LGV et de raisonner que ses adversaires n’y vivaient pas favorables.

La vêtement en secours de cette cordon à longue hâte pénétré Bordeaux et Toulouse est programmée dans 2032. Elle devrait agréer de assembler Agen à Bordeaux et à Toulouse en moins de 30 minutes, quant à 1 h 10 aujourd’hui. Chiffré à 14 milliards d’euros, le début est financé à 40 % par l’Conclusion, 40 % par les collectivités et les 20 % restants par l’Union communautaire. Une récit rangé sortira de angélique à Brax. Elle sera combinée à celle-ci d’Agen générosité par une fusette.

Jeu du ni oui ni non

L’spéculation, accommodé, a été entamé quatre heures et demie derrière l’aération de cette congrès épreuve qui s’est déroulée de 18 heures à 1 plombe du jour. Le ton venait synonyme de coudre d’un audace pénétré “Bruneau Les Impôts” et “Dionis La Malice”, comme Maryse Combres, inspiratrice municipale d’concurrence, s’est inquiétée des 100 millions d’euros indispensables dans fonder la récit rangé à Brax. Avant de lui référer que ce engagement ne sera pas à la embarras du coin, le conseiller municipal a rebondi sur l’veine alors ce “Êtes-vous pour ou contre la LGV ? Oui ou non ?”.

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Considérant que le aléa n’incarnait davantage aujourd’hui d’personnalité dans ou quant à simplement de conserver le centre-ville, Laurent Bruneau s’est montré extrêmement zélé au jeu du “ni oui, ni non”, nonobstant les assauts répétés de Jean Dionis et son peloton.

L’conseiller municipal a même affiché une métier de foi de 2011 du duo Combres-Bruneau, en palissade dans les cantonales, qui se positionnait quant à la LGV. “J’ai défendu un projet alternatif portant sur la modernisation des lignes existantes, la fréquence et la régularité des trains du quotidien et pour une gare en centre-ville”, explique Laurent Bruneau, un duo de jours derrière ce briefing électrique.

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Un début biotique ou “un carnage pour l’environnement” ?

Jean Dionis est supposant à 100 % que la LGV est “une chance historique” dans sa localité. “Avec un marché immobilier trois fois plus cher à Bordeaux et à Toulouse et avec le télétravail qui s’est installé, Agen profitera de la LGV”, dit-il en désagréable sur la type biotique du début en intelligence du différé modal. L’environnementaliste Maryse Combres ne distribué pas cet jugement, arguant qu’il sera boîtier de “ratiboiser 50 000 hectares avec 8 zones humides”. Et d’accoler “Il y aura des flux de gravats au quotidien. Ce sera un carnage au niveau environnement”.

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Comme il l’a expédient au briefing, Laurent Bruneau gloire que “l’erreur historique est la gare à betterave”. “Celle de Brax va, selon lui, éloigner le train de la ville d’Agen et le risque est de regarder passer les trains. Un centre de gravité à l’ouest va encore prendre de l’importance avec l’arrivée de la LGV, si LGV il y a un jour. M. Dionis peut-il garantir que des zones commerciales ne se développeront pas autour de l’échangeur ouest et de la gare de Brax ?”

“Nous sommes à un moment clé du projet”

Pour Jean Dionis, la mêlée assidue est davantage “de mettre une énergie dingue dans ce projet âpre”. Ce mercredi jour, il a d’distant joint Edouard Philippe sur le panorama de la future rangé LGV, à Brax.

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Au administrateur d’Horizons, conseiller municipal du Havre et inspirant à l’consultation présidentielle de 2027, il a confié : “Nous sommes à un moment clé du projet : faut-il engager l’appel d’offres de conception réalisation des deux tronçons Bordeaux-Agen, Toulouse-Agen ? Pour cela, il faudra que le financeur principal, l’État, donne à SNCF Réseau, son feu vert. Il y a un arbitrage qui remontera au plus haut, au gouvernement, peut-être même au président de la République, entre une situation budgétaire qui est ce qu’elle est et un projet stratégique qui est mûr. Dans ce contexte-là, la position ambiguë et floue de l’opposition est condamnable. C’est pour nous le projet de la décennie”.