Municipales 2026 à Balaruc-les-Bains : la savant criminelle d’un prétendant secoue les Thermes, la Ville et la Spleth envisagent des poursuites

Les Thermes de Balaruc-les-Bains sont au cœur d’une débat émise par Thierry Cours, son anachronique PDG aujourd’hui prétendant aux élections municipales. Il dénonce singulièrement une gérance désordonné et clientéliste. En objection, la commune et la influence défendent des résultats financiers solides.

C’est peu avouer que Thierry Cours a jeté, mi-décembre, un revêtu à cause l’eau amie des Thermes de Balaruc-les-Bains. Dans une savant criminelle notée à l’exactitude des “Balarucoises et des Balarucois”, le prétendant aux municipales explique finalement “les raisons” de ses démissions, en mai 2021, du blockhaus de PDG de la groupe manifeste locale qui gère les Thermes (ensuite pourtant huit paye), et du législature d’élu communal envoyé au thermalisme, qu’il occupait depuis 2014.

Thierry Cours est prétendant aux élections municipales à Balaruc-les-Bains.
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“Pilotage défaillant”, “clientélisme”, “favoritisme”, “gestion anarchique”, “maire dépassé”…

S’ensuit touchant de paire pages notamment accusatrices à l’appréhension des Thermes. Pilotage opérant “défaillant, incompétent et payé au prix fort”, procédures de marchés publics “non maîtrisées” et “en marge de la loi”, “absence de sécurité juridique” en reliant moyennant appréciation l’occupation Sublio, budgets “peu ou pas maîtrisés”, gérance “anarchique” du contestation, grilles de rémunérations “incohérentes et discriminatoires”… 

Thierry Cours va surtout distant en expressif de “clientélisme et de favoritisme érigés en mode de gestion” et d’activités annexes (les cosmétiques) “chroniquement déficitaires”… Le généralité pèserait “directement sur les budgets de la commune et donc les impôts du contribuable balarucois”. Une préfecture à la mine desquelles le magistrat, Gérard Canovas, se serait retrouvé “dépassé”, “fuyant ses responsabilités”, exerçant une gouvernance “verticale, opaque, concentrée et cloisonnée”, “dans un entre-soi très confidentiel”. N’en jetez surtout ! Une inventaire fronton auxquelles, explique Thierry Cours, il aurait privilégié omettre sa désistement “en toute liberté et en toute conscience”.

Bénéfices, monogramme d’argent, liquidités… les chiffres d’une complaisante vitalité banquière

Si la pâturage pouvoir autorise maints joutes verbales, la Ville de Balaruc, par l’arbitre du magistrat, pourquoi que la Spleth (groupe manifeste locale des Thermes*) et son PDG Didier Calas, “se réservent le droit d’engager des poursuites” fronton à ces message “proprement diffamatoires”. “On ne peut pas tout laisser dire”, réagit Gérard Canovas, inscriptions de résultats des Thermes à l’arc-boutant. “La Ville perçoit une redevance annuelle de près de 8 M€, reversée d’une part sur le budget principal (2 M€), d’autre part sur un budget annexe (6 M€), lequel sert aux investissements et au remboursement de l’emprunt. C’est donc alimenté par l’activité commerciale des Thermes eux-mêmes, pas par les Balarucois !”

Gérard Canovas, anachronique PDG des Thermes (2012-2020, emploi qu’il rappelle capital aguerri rien remise), se félicite aujourd’hui d’un organe qui n’a oncques itou actif fonctionné. “On a créé un patrimoine estimé à 107 M€, avec un rendement financier de 22 % brut (15 % net), qui réalise 3,2 M€ de bénéfices nets en 2024 et avoisine les 41 M€ de chiffre d’affaires l’an dernier !”

“L’entreprise thermale n’a rien connu d’aussi faste qu’aujourd’hui”

“L’entreprise thermale n’a rien connu d’aussi faste qu’aujourd’hui”, remplie Didier Calas, qui explique ne pas aviser ce blessant sanction et requis à Thierry Cours d’presser “les preuves de ses allégations”. “On a réussi à reconstituer 12 M€ de capitaux propres et on a distribué 2 M€ aux actionnaires en 2024, c’est-à-dire aux collectivités ! Finalement, on aura mis quatre années après le Covid, au lieu de six, pour refaire notre trésorerie. Et les cosmétiques ? C’est 1 M€ de chiffre d’affaires cette année.”

“Comment se fait-il que Monsieur Cours n’a rien vu de ce qu’il dénonce en six ans de mandat à mes côtés ?”, contre-offensive Gérard Canovas, moyennant qui cette savant sent “l’esprit de vengeance”. “Faut-il que l’on parle des erreurs de management durant ses fonctions de PDG ? Il a créé des traumatismes dans les équipes et a fini par fuir ses responsabilités.” Le ton de la pâturage est actif donné à Balaruc-les-Bains.

(*) Société détenue à 85 % par la préfecture, 14 % par Sète Agglo, 1 % par le Paroisse de l’Hérault.