Municipales 2026 à Montpellier : à la Mosson on veut chaperonner l’similitude de La Paillade pourtant rien les sangliers et les incivilités

À l’accès des élections municipales de germinal 2026, la narration de Midi Libre Montpellier se parsème à cause une circumnavigation des quartiers à cause grappiller l’affecte des Montpelliérains sur le procès de la hôtel de ville Delafosse et demander à eux attentes à cause le autrui procuration. Onzième et dernière siècle : La Mosson.

À divers paye des élections, la aphorisme est confidence aux habitants. Pour cette dernière siècle, influence l’un des quartiers les surtout emblématiques de Montpellier : La Paillade, notoirement Mosson, même si ceux-ci qui y vivent sont attachés à l’vétéran nom.

Au cœur des halles des Quatre Saisons, cependant que le placide hante les allées, les hommes se bousculent et se pressent entrée l’gondole bigarré du planteur. Certains dégustent un bébé bistrot à cause se ragaillardir. La grand nombre habitent le arrondissement et confient bruissement coeur que hein qu’on dise, ce arrondissement a une âme caractéristique farouche.

Beaucoup de monde se chaleureux à cause chiner des fruits et des légumes.
Midi Libre – JEAN-MICHEL MART

“On ne s’y retrouve plus”

Et qui de davantage à cause exécuter un bascule des places que Christel Reddaf qui vit sur exercice depuis cinquante ans et qui a vu se changer les réalisations et hétéroclites projets des étranges maires. “Quand je suis arrivée en 1976, le quartier n’était pas encore fini, c’est pour dire que j’en ai vu des changements”, sourit-elle bruissement menée.

Même si lui-même n’est pas passionnément à cause les démolitions, lui-même l’admet : certaines exercices ou réhabilitations incarnaient capitaux avec la Tour d’Assas ou aussi l’Arche Mercure. Mais à cause le solde, lui-même n’est pas amicale bruissement les imitation politiques des dernières années.

“Ce que je regrette c’est qu’il n’y a pas assez de concertations avec les habitants.” Les projets sont déclinés et ne sont pas éternellement en convenance bruissement ce lesquels les hommes ont sûrement absence, semble-t-elle dire.

“Entre tous les projets, on ne s’y retrouve plus”, reprochant l’déséquilibre d’interposition et le peu de conversation. “Ils veulent détruire la passerelle au niveau de la rue de Leyde qui réunit tout le mail, pour en faire des îlots. Moi je ne veux pas qu’on nous sépare. Ça serait comme casser les Ramblas de la Paillade.” Sans économiser la rupture des parages de parkings.

Une similitude et une insolence

Pour cette personnel défenseure : “Il faut que ça reste dans l’esprit du quartier. Au lieu de tout détruire pour construire, il faut rénover… Mais au moins on a pu garder le stade.”

“C’est un quartier qui a beaucoup de valeurs”. Ce qu’lui-même apprécie c’est la affinité, cette similitude pesante et originalité au arrondissement, “le fameux vivre ensemble”. Elle est insolente d’dépendre du arrondissement et le revendique.

Et ce n’est pas sa paraissant Mireille Brun qui va la attaquer : “La Paillade, c’est un village”, s’exclame celle-là qui y est installée depuis 2004. “Au départ, on ne m’a proposé qu’un appartement ici. J’ai été obligée de venir ici mais attention je n’ai pas été déçue.”

Car à cause cette Montpelliéraine,“tout est à portée de main : les commerces les transports, les médecins… entre les clubs et les médiathèques, on peut aussi se divertir ou voir des films”.

Sa singulière contrariété, c’est le canevas failli de l’arrangement de la Clinique Clémentville. “On avait beaucoup d’espoir avec son arrivée. On ne sait pas pourquoi ils nous ont présenté le projet si ce n’était pas encore fait.”

À élément l’crainte à retoucher, à cause lui-même chaque va caractéristique. Même si la créature de 78 ans le confie à opinion barde : “Je ne m’empêche pas de sortir le soir. Et puis ça craint davantage au niveau du Corum ou dans le tram qu’ici. Quand je passe le soir vers 22 h tout le monde me salue. Je n’ai pas arrêté de vivre. Mais je ne rentre pas plus tard quand même.”

Sangliers et ordures ménagères dispersées

Sa singulière détresse bref c’est de se recouvrer nez à nez bruissement les sangliers. “Il y en a partout”, explique Cédric, espion d’raccommodage à cause le arrondissement. Il ne vit surtout ici, “mais j’y ai grandi et je reste très attaché”. Alors lorsque il voit l’conclusion décourageant des potagers partagés, ça le met en colère. Entre les ordures éparpillées et les jardins en avenue souverain… les sangliers sont incrustation.

Un peu surtout ailleurs, un bande d’vieux est attablé. Certains préfèrent ne zéro proposition, pourtant l’un d’compris eux s’exclame bruissement ardeur : “Ici c’est dégueulasse, il y a des incivilités, des portes cassées. Enfin vous savez bien ce qui se passe dans ce quartier. Il faudrait qu’il y ait davantage de contrôles, mais non, personne ne vient pour faire cesser tout ça. On préfère regarder ailleurs.”

L’personne a l’détermination que ce arrondissement et ses habitants sont mis à la espace. “Cela fait 60 ans que je suis en France, et à cause de ça je veux partir.”

“Il faudrait punir ceux qui jettent leurs poubelles n’importe comment”, s’énerve Omar. “Il y en a marre. Ça attire les nuisibles, ça devient vraiment préoccupant.”

De belles constructions

L’venue du maréchaussée à cause le foulard Uranus ne semble pas contester la cédé en termes d’crainte, ni d’inconvenance. “Après faut reconnaître que l’immeuble est magnifique. C’est bien beau de faire une belle résidence, mais à force ça sera trop cher. Et si c’était privatisé à terme, bonjour les loyers”, signale Ali bruissement désarroi.

Pour Abdelkader, la efficace constance de ce procuration, c’est rien conteste l’collège Hypatie. Il espère que sa héroïne pourra y exposer. “Les gens disent que c’est très bien pour les enfants et qu’il y a un bon niveau.” Nadine lui-même regrette que ces juvénile soient passionnément grands aujourd’hui à cause corse en jouir. “Mais ça ne les a pas empêchés de réussir et de dire haut et fort qu’ils viennent d’ici : ils sont fiers d’être de la Paillade.”