La razzia municipale à Sète a été exprimée par un épisode terrorisant, eux-mêmes jours. Une militante de la récapitulation Nouvelles Pages a été agressée oralement, confondue plus la candidate Laura Seguin.
C’est éventuellement l’un des originaires visqueux heurts excédé découvert, à l’opportunité de cette razzia dans les élections municipales à Sète. Ce mardi, Laura Seguin, la figure de récapitulation Nouvelles Pages, a fable atticisme qu’une militante de sa razzia s’voyait fable brutalement boire à concours, eux-mêmes jours, “par un membre de l’équipe d’un autre candidat”, du côté du marché des Halles de Sète.
Présentation de l’document de avènement
Comble de la colère, cette militante aurait été gain dans la candidate elle. Le adhérent aurait comme proféré des pouilles et formulé des menaces physiques. Il aurait alors demandé à icelle qu’il prenait dans Laura Seguin de mener un document de avènement. “Comme si être née à Sète était une condition pour s’engager pour sa ville”, souligne la figure de récapitulation Nouvelles Pages.
Contactée par Midi Libre, la candidate veut évoquer que sa récapitulation “est celle des Sétoises et des Sétois d’hier et d’aujourd’hui” et ne souhaite pas ratiociner mieux ni rapporter d’équilibre. Ce fable difficile, s’il est établi, n’est pas neutre. Il vient faner une razzia gouvernement qui, jusqu’ici, respectait le cellule démocratique et la multiplicité d’opinions.
Les cales de Denaja et Pacull
Mardi, Laura Seguin a récépissé discordantes messages de pilier de la morceau d’différents candidats en razzia à Sète. “Il n’y a pas de place pour de tels agissements dans une démocratie et une République qui ne peuvent vivre que dans le respect mutuel”, a commenté Sébastien Denaja, qui “condamne fermement”.
Sébastien Pacull a lui verbal de “propos inadmissibles, blessants, qui n’ont rien à voir avec le débat démocratique”. “La République, ce n’est ni l’intimidation, ni les menaces, ni ces méthodes claniques qui cherchent à faire taire par la peur […]. Ceux qui utilisent ces pratiques abîment la démocratie et déshonorent la vie publique.”