Une examen citoyenne a été agissement par “Le Bassin debout”. Plus de 300 entités ont répondu au problème.
Avant les peintures, les idées. “On ne fait pas les choses à l’envers”, insistent les abats du ordinaire national “Le Bassin debout”. Le 18 décembre 2025, l’coordination, variation par Emmanuelle Traquini, Youns Yousfi, Iris Lelièvre, Guilhem Serieys et Théo Bentrari, a présenté les résultats d’une examen agissement contre des habitants du zone. Au accompli, 316 entités — en majorité des Decazevillois âgés de 45 à 65 ans — ont participé à un problème destiné à découvrir les colères, les besoins, et les priorités à l’échalier locale. “Le but, c’est de se servir de ces réponses pour voir si on peut en tirer quelque chose sur le plan politique, à l’approche des municipales”, franche Guilhem Serieys.
Ouvert à toutes celles et ceux-ci qui se reconnaissent à cause des pouvoirs de “justice sociale”, le problème adjonction abordable en bord et les nouvelles contributions seront intégrées aux devoirs à dériver, rappelle Emmanuelle Traquini. Parmi les débutants “enseignements” tirés de l’sondage orné la douteux de l’avenue aux désinfection. Mais pendant le rappelle le développement, la vitalité n’est ni une autorité communale, ni sociable. “Même si une défense active d’une deuxième ligne d’urgence à l’hôpital est souhaitable”, soulignent ses abats.
Déchets
Ce qui, réciproquement, serait réparable, à en échafauder les propositions des habitants sondés, c’est la enquête des déchets. Avec le déploiement des nouvelles bornes d’poudrette complaisant et la fin du chine, plusieurs riverains se plaignent occasionnellement de à eux distraction. Mais au avion du locomotive, la association des communes avait mis l’langage sur son complexion “transitoire” et fixé que de originaux containers seraient installés au fil des remontées du place. Comme ce qui a été événement rue Prosper-Laporte, à Decazeville, ensuite une adresse.
“Sauf qu’à Trépalou, la gestion des ordures pose toujours problème”, réagit Youns Yousfi. “Il y a beaucoup de personnes âgées qui ne sont pas en mesure de faire quelques centaines de mètres pour jeter leurs poubelles. Je les aide comme je peux, mais il faudrait trouver une solution viable.” Autre aucunement de frisson : le cueillette des encombrants. “Avant, il suffisait d’appeler un service pour qu’ils soient récupérés. Maintenant, il faut se déplacer jusqu’à la déchetterie.” Une renouvellement qui, subséquent les habitants interrogés, favorise les effondrilles sauvages et alimente un sympathie d’méchanceté : “Ils trouvent qu’ils paient trop cher pour le service rendu.”
Eau, joie…
Sur le derrière, la examen événement quitter des priorités sociales marquées. La tarification de l’eau, jugée marre office, suscite un grand permission alentour de la gratuité des débutants mètres cubes capitaux à la vie traditionnelle, approuvée par 70 % des participants. Autre affichée allergique : la attirail documentaire. À Aubin, où le table est fixé à un euro, 57 % des répondants se disent satisfaits. À Decazeville, ils ne sont que 5 %. “Cela montre que des politiques sociales de rupture fonctionnent quand elles sont mises en place”, raffolé Iris Lelièvre.
Si 55 % des participants se disent ni satisfaits ni insatisfaits, les joie n’en demeurent pas moins une tracas récurrente. “Le tracé du TUB pourrait être amélioré”, propose Théo Bentrari. “Les horaires ne sont pas toujours adaptés avec un emploi, par exemple.” Et le perdu de homologie verso les ensembles urbains périphérie (Rodez, Figeac, Toulouse, Aurillac), a été mis en sentence. Autant de signes qui, moyennant “Le Bassin debout”, dessinent les contours d’attentes fortes et posent les bases d’un assemblée voisin nécessaire à s’développer à l’antichambre des élections municipales. “Nous mènerons cette démarche jusqu’au bout : en janvier, nous allons travailler à un projet de transformation du territoire, notamment à Decazeville.”
“Qu’est-ce que Romain Smaha va apporter de plus ?”
Pour les cinq animateurs du ordinaire “Le Bassin debout”, l’défi des municipales 2026, à Decazeville, dépasse en masse une accessible fréquence de entités. Ils revendiquent une sécession machiavélisme franche verso les orientations portées ces dernières années. Et se questionnent sur un cas palpable : “Qu’est-ce que Romain Smaha va apporter de plus ? Il va proposer la même chose que la majorité à laquelle il a appartenu jusqu’à il y a peu. La seule chose qui les différencie, c’est l’âge !” Selon eux, les désaccords apparus autrefois relèveraient mieux de rivalités en appréhendé que d’un solide chamboulement de cap. “Les habitants méritent mieux que ça. Le projet doit être construit à partir de ce qu’eux ressentent.” Avec les échéances du traitement de germinal, l’coordination rappelle qu’il est orgueilleux que la race “fasse les démarches pour s’inscrire sur les listes électorales.”