Narbonne. Sur BFM, le Narbonnais Benoît Pérez a pu compulser Jordan Bardella

l’caractéristique
Ce jeudi 11 décembre, en amendement time, le Forum BFM TV a groupé quinze Français de complets horizons venus compulser Jordan Bardella sur des sujets capitaux. Benoît Pérez, séide voisin de Narbonne, réalisait un de ceux. L’diffusion a attiré 855 000 téléspectateurs.

Ils sont prolétariat, artisans, chefs d’manufacture, agriculteurs, étudiants, engagés parmi la vie associative d’une patrie… Ce jeudi 11 décembre à 21 h, parmi le arrangé du Forum BFM TV, des “Français venus de tous horizons” ont interrogé Jordan Bardella, le administrateur du Rassemblement territorial, sur les sujets liés au avive d’emplette, la sûreté, le modèle tricolore d’implication, la affermi de la France parmi le monde.

Parmi ces quinze Français invités à s’rapporter, le Narbonnais Benoît Pérez. Fondateur de Narbonne Solidaire, administrateur de La Bande de Copains, administrateur pareillement de la Ligue des corrects de l’Homme de Narbonne, Benoît Pérez est un gratuit au aristocrate cœur, et quelquefois au cœur grossier. Il participe à des besognes de camaraderie, puis accéder en collègue aux avec démunis à Narbonne. “Sur BFM, j’y suis allé sans calcul, et j’ai tenu à dire d’emblée que mes engagements concrets font de moi un homme de gauche pas par idéologie, encore moins par appartenance partisane, mais parce que le réel, le terrain, la fraternité vécue m’y ont conduit”, confie-t-il ce vendredi parmi le paquetage du rentrée. Il a été cité effet à l’une de ses interventions sur la jonc le 1er Mai et à une changé où, avait-il dit, “si vous voulez que je confronte mes idées avec celles de l’extrême droite, pas de problème”.

Chef d’manufacture, séide voisin, “amoureux de la France, engagé sur le terrain”, Benoît Pérez, 37 ans, atmosphère même écho une avis à Jordan Bardella : “J’ai aussi une crèche sous mon sapin. Comme quoi…” “Je lui ai surtout demandé une chose simple : cesser de caricaturer les gens de gauche, de les ranger dans une catégorie fantasmée de “fous”, “d’ennemis de la métier” ou d’anti-France. Ce n’est ni honnête, ni vrai…”

Benoît Pérez a pu ultérieurement “défendre l’aide française à l’Ukraine. Parce que l’Ukraine, c’est la porte de l’Union européenne, et parce que notre sécurité collective est en jeu. La France contribue à hauteur d’environ 7 milliards d’euros, quand l’Allemagne en consacre 21. Or le RN entretient depuis le début une ambiguïté profonde sur ce soutien. À une question simple – “Supprimeriez-vous cette collègue si vous-même incarniez au avive ?” – aucune réponse claire. Et quand j’ai rappelé que l’Union européenne devait être forte dans un monde instable, la réponse a été un rejet global, brutal, l’Union européenne ce n’est clairement pas son truc… Pour moi, croire que la France seule, isolée, pourrait faire face aux défis géopolitiques actuels est une illusion dangereuse”.

Sur le rengaine de l’entrée, “trois chefs d’entreprise, dont moi, ont rappelé une réalité simple : nos entreprises ont besoin de l’immigration. Ce n’est pas un slogan, c’est un fait économique. Sur notre territoire, certain(e) s agriculteurs, restaurateurs, entrepreneurs dans le bâtiment en sont conscients”. Sur la sûreté, “je regrette de ne pas avoir eu plus de temps car je voulais dire ceci, notamment : la montée du RN est aussi celle des réseaux sociaux, devenus la première tribune politique des non-initiés, où les fake news circulent sans filtre. Oui, il existe des problèmes réels : le narcotrafic, certaines formes d’insécurité, des quartiers abandonnés. Les nier serait irresponsable. Mais jouer sur la peur, l’amplifier, l’entretenir, la généraliser, c’est une stratégie politique. Et elle fonctionne”.

Pour le Narbonnais, ces trio heures de précis auront été “une très bonne expérience, un brin frustrante car l’émission s’est transformée en un meeting de Jordan Bardella”.

D’alors Médiamétrie, la jonc a groupé 855 000 téléspectateurs, bien la meilleure renommée du coïncidence d’nouvelle…