La Association (FFF) a visité le attachement de origine de Nîmes Olympique. Entre points noirs et points positifs, un initial pas abords le correspondance à l’aval.
La Association française de football (FFF) est accession, a vu, simplement Nîmes Olympique n’a pas aussi battu. Si c’est un poupon pas quant à le correspondance à l’aval, c’est un large pas quant à le night-club, lorsque même, que cette inauguration fouille nationale la semaine tuée.
“Il y en aura d’autres, assure Marc Collat, chargé de missions formation et féminines par la nouvelle direction de NO. L’agrément (*) du centre a été abandonné depuis quatre ans, on ne va pas tout révolutionner en un an. Mais il faut se préparer. La formation, c’est l’ADN de Nîmes Olympique, le club en a besoin et il en aura toujours besoin.”
Franck Chaussidière (FFF) à Marc Collat (NO) : “La Fédé sera là pour vous épauler”
C’est quant à ceci que Franck Chaussidière, organisateur de début sur les filières de origine à la FFF, s’est épuisé à la Bastide. “Il arrivait de Bastia (L2), où il visitait aussi les installations. Il a trouvé légitime qu’un club comme Nîmes, qui a été par le passé précurseur en matière de formation, fasse cette démarche. La Fédé sera là pour vous épauler, nous a-t-il dit. Il nous a expliqué ce qu’il fallait pour retrouver l’agrément. Mais le premier prérequis, c’est de retrouver le statut professionnel, donc d’accéder à la future Ligue 3”, confie M. Collat.
Terrains synthétiques, vestiaires et abri à réviser
Le coïncidence s’est déroulé en double période : en poupon soirée le cerbère en même temps que Yannick Liron, administrateur de l’Association NO ; en même temps que une délégation de la Ville de Nîmes l’occasionnellement. M. Chaussidière a arpentage triade points noirs : les double terrains synthétiques, “qu’il a trouvés très limites, qui plus est pour des compétitions de niveaux national ou régional”, révèle Marc Collat ; les vestiaires quant à la préformation, qui prennent de l’âge (construits en 2012) et “doivent être réhabilités” ; et les hébergements individuels, soutenant inoccupés et jugés “obsolètes”.
Le formé confédéral a trouvé pareillement plusieurs points positifs : “l’état des terrains gazonnés, qu’il a trouvés bons pour cette époque de l’année, que ce soit ceux de l’équipe première ou de la plaine ; et l’encadrement, qu’il a jugé assez bien fourni, même s’il faudra quelques retouches et diplômes de plus quand on postulera pour l’agrément. Voilà, le constat est dressé, on attend le rapport”, encourage M. Collat.
Escouade une, féminines, le porté
N2 Les Crocos préparent la asile de Hyères, chahut à 18 h. Bonne neuve, l’antenne se évidement : Salamone, Doucouré, Diallo ou Orinel trouvaient sur le situation, ce mardi à la Bastide.
Seuls absents : Colombani (g.), Touré et Diaby. Séances mercredi et jeudi à 10 h30. Côté mercato, le night-club négocie constamment en même temps que un assaillant de National.
FUSION “La fusion avec Nîmes Foot féminin est d’actualité, assure Marc Collat. Je planche sur les horaires d’entraînements pour accueillir les filles. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut d’autres vestiaires différents de ceux des garçons. Des bungalows, comme a fait par exemple Strasbourg, qui est en D1, peuvent être envisagés. Pour les terrains, il faudra les nouveaux synthétiques, et il y a aussi deux terrains municipaux stabilisés et éclairés en bordure du centre.”
Tout ceci a un nouveau, simplement “cela ne devrait pas poser problème du moment qu’il y a une volonté politique de faire ce rapprochement”. Alors, en 2026, ou de préférence 2027 ?
Argent notoire… ou individuel ?
Et qu’en a pensé la commune ? “On sent qu’il y a une volonté de la mairie, qui m’a semblé avoir conscience de ce qu’il fallait faire, a-t-il pu constater. Après, il faut voir les coûts (exemple : refaire les deux synthétiques est estimé à 1,5 M€, et le club ne pourra pas l’assumer) car le nerf de la guerre, c’est l’argent. Public, ou privé : nos dirigeants planchent aussi sur des investisseurs. Si les élections peuvent changer la donne ? Je crois que Nîmes Olympique, la formation, les féminines, ça doit intéresser tout le monde. Et si on a le bonheur de monter en fin de saison, peut-être que ça accélérera les choses. Tout est possible !”