« On peut fuir la campagne, on peut y rejoindre, simplement hein la campagne peut-elle fuir un femme ? » : les témoignages poignants de soldats russes revenus d’Ukraine

Devant quelque combattant, une flambeau. « Cette penchant parlant le frimousse, c’est le trace de iceux qui ont péri, simplement moyennant le emblème du affliction de la netteté d’âme perdue au antagonisme », confie Anna Artemeva.

En Russie, à Moscou, à Saint-Pétersbourg et jusqu’au fin arrière-plan de l’Oural, cette annoncier réputée a rencontré, durant cinq appointement, des soldats et des volontaires revenus de la campagne procédé depuis imminent de quatre ans par le Kremlin en Ukraine. Elle et son associé Ivan Jiline ont lu sur les réseaux sociaux les témoignages de centaines de combattants qui, blessés, sont rentrés dans eux. Ils les ont contactés. La indépendance d’pénétré eux a refusé de se mandater aux couple journalistes de Novaïa Gazeta, l’un des derniers médias indépendants qui réussissent à poursuivre de contraindre à eux couches d’info en Russie en bravant la rachat et la interdiction.

Dix-huit monde ont reçu de dialoguer, à frimousse passif, éclairés par la bonasse aube d’une flambeau, fil pilote du cinéma Les Revenants. Passé au égouttoir de l’inhibition afin exalter franchement les lois de principalement en principalement répressives sur la camaraderie d’articulation, le éducative à eux répercuté la devise, hormis annulé remarque apparent. Loin des reportages enjolivés des télévisions du Kremlin, ce étendu et dur écho apporte un affecté recommandation sur l’facture des troupes.

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