Le attente de balance 2026 prévoit une diminution des aides financières allouées aux Missions locales. L’coïncidence des jeunes dès 16 ans sera inéluctablement impacté, d’où l’frayeur des professionnels.
Ils sont venus en trempe : les professionnels d’une quinzaine de Missions locales d’Occitanie ont manifesté à elles frayeur et à elles rancoeur sur le place de l’Opéra Comédie à Montpellier, ce jeudi 4 décembre.
Et verso exposé, le attente de loi de fisc 2026 prévoit une diminution de 13 % du balance conféré aux Missions locales et une diminution des aides financières aux jeunes.
“Déjà que de plus en plus de jeunes sont en situation de précarité, sans compter que les moyens sont déjà très faibles, si on baisse encore on va à la catastrophe”, explique Thomas Morrier qui vient du Grand Narbonne.
Un coïncidence constituant
Pour appel, les Missions locales, initial besogne évident d’identification des 16-25 ans, accompagnent tout cycle 1,1 million de jeunes entre 6 800 places d’apparence urbi et orbi en France. “Notre accompagnement est global. Et derrière il y a des humains… S’il y a des coupes à faire ce n’est pas sur la jeunesse”, s’exclame Stéphanie Laborie, initiatrice en identification sociale et professionnelle.
“On sacrifie la jeunesse alors que c’est l’avenir”, entend-on chez les 150 manifestants. Le engin qui est “essentiel” est aujourd’hui menacé. “En espérant que les mobilisations serviront à rétablir les moyens, d’autant plus que tous les partenaires seront aussi fragilisés par ces mesures”, confie Pierre-Olivier Navarro gestionnaire opérant verso la Mission locale de la archiépiscopat de Montpellier.