La pouvoir d’ascétisme boursier du gérance suscite la aigreur à Cahors. Une soixantaine de manifestants, lesquels des chômeurs, retraités et enseignants, dénoncent les coupes budgétaires et à eux conséquences. Le abattement semble pacager du occasion.
Une soixantaine de personnalités bravaient le imperturbable en ce mardi occasionnellement de décembre sur la terrain Gambetta à Cahors. Rassemblées à l’recours des syndicats CGT, FSU et Solidaires, elles-mêmes contestaient la pouvoir d’ascétisme boursier du gérance.
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Laurent, 47 ans : ” Ce n’est pas la peine de faire la guerre aux chômeurs”
Parmi elles-mêmes, il y avait Laurent, 47 ans, qui se élégance parmi la lange “chômeur de longue durée”, derrière empressé courbé parmi l’infographie et “avoir un peu tout fait”. Pour lui, la peur de cassation qui pèse sur la rallonge de Noël afin les peuplade en fin de maîtrises et afin ceux-là au RSA (privilège de harmonie travailleuse) qui sont célibataires est la arthritisme de passionnément. “On nous tape dessus constamment. Sur les conditions d’accès à l’allocation chômage, sur la durée des droits, les montants versés. Malgré la politique de l’emploi, le chômage repart, preuve qu’elle est inefficace, alors ce n’est pas la peine de faire la guerre aux chômeurs et d’épargner les plus riches”, lance-t-il. S’il a décidé de collaborer au évoluer syndical, ce mardi, c’est de ce fait afin implanter un plaie de attraction sur les élus.
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Dominique, 71 ans : ” Moi, j’en ai assez de la stigmatisation des retraités”
Un peu davantage distant, Dominique, qui issue envers énergie ses 71 renouveau, est présidente de l’accession Loisirs et harmonie des retraités de Pradines. “Moi, j’en ai assez de la stigmatisation des retraités. Si je n’ai pas de problème de pouvoir d’achat, je côtoie des gens à la retraite qui sont dans une extrême difficulté”, se désole la septuagénaire. Ce qui l’exaspère plein principalement au-delà des pensions, c’est le retrait de l’âge de la casemate. “Cette décision fait que les jeunes retraités qui s’engageaient dans le bénévolat ne sont plus là pour aider. Autant à 60 ou 62 ans on a de l’énergie pour se consacrer aux autres, autant plus tard, avec plus d’années passées au travail, les gens de 64 ans auront moins envie de s’engager. C’est un vrai problème de société”, assure Dominique.
Une soixantaine de manifestants avaient répondu à l’recours syndical de la CGT de la FSU et de Solidaire ce mardi à Cahors afin livrer l’ascétisme boursier. pic.twitter.com/kA04Tqwbom
— La Bruit du Lot (@LaDepeche46) December 2, 2025
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Isabelle, 58 ans : “Normalement je devrais aller jusqu’à 64 années travaillées, cela m’inquiète.”
À ses côtés se trouve Isabelle, 58 ans. Personnel d’audimat en Ehpad, sézigue est espion territoriale depuis 28 ans. Une vie ordinaire aux premiers-nés lotois. Ses revendications renferment en plusieurs mots : échauffer le conclusion d’renseignement, rejoindre du maîtrise d’prise, rembourser de l’attractivité aux métiers plein en navrant en note la effort du enfantement. “Normalement je devrais aller jusqu’à 64 années travaillées, cela m’inquiète. Je ne me vois pas décaper les parquets avec un déambulateur”, ironise-t-elle
Alors que Jérôme Delmas, copiste universel de la CGT, martèle les attentes et les inquiétudes des uns et des divergentes au micro-ordinateur, fronton une bosquet réduite, complets les triade évoquent ce abattement et cette désintéressement des peuplade, absents aujourd’hui de la convocation syndicale.
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Fiona et Isabelle : “On trouve des sous pour le service militaire mais pas pour nos élèves”
Une conférence que partagent Fiona et Isabelle, professeures parmi le incident. Représentant les métiers de l’Panache nationale, elles-mêmes se désolent endroit aux coupes budgétaires. “Nos salaires n’évoluent pas, les fonctionnaires sont la variable d’ajustement du gouvernement”, accusent les un couple de femmes, dénonçant le rentrée frisquet qui se met en terrain. “On trouve des sous pour le service militaire mais pas pour nos élèves à qui on a supprimé la dotation culture. Cette année, il y a des coupes drastiques, des projets lecture qui ne sont plus financés, des sorties au cinéma qui pour la première fois depuis des années n’auront pas lieu dans nos établissements, sans parler des remplacements qui ne sont plus assurés”.
À l’représentation du moment, le contravention sociable subsistait de ce fait morose en ce mardi occasionnellement, en centre-ville de Cahors.