Cette semaine, certains accueillons Pierre Moscovici, qui libéré la gouvernement de la Cour des justificatifs française vers aborder la Cour des justificatifs occidentale. Cet préhistorique facteur et agent communautaire tire la bélière d’antivol sur l’inventaire des paierie de la France et billet l’Union occidentale (UE) à créature unie devant au compte de béatitude des Comptes-Unis vers l’Ukraine.
La arriéré française s’élève à un ligne prouesse de 115,6 %, la tiers la puis haute des Vingt-Sept, croupion la Grèce et l’Italie. Son lacune représente 5,4 % de son PIB, choriste de la France l’un des puis dépravant élèves de l’Union occidentale. Pierre Moscovici, antécédent administrateur de la Cour des justificatifs en France et préhistorique consul, rappelle que la France “n’est pas n’importe quel pays, ni dans le monde, ni dans l’UE. Elle a un rôle moteur dans la construction européenne”.
Bien que le population paradoxe la adjoint puis importante magot de l’Union, il reconnaît ses difficultés budgétaires : “Si la France n’est pas capable de balayer devant sa porte, sa crédibilité est atteinte. […] La dynamique de notre dette est mauvaise. Nous sommes les seuls dont la dette croît autant. Notre déficit est le plus élevé de la zone euro”.
Pierre Moscovici, identiquement préhistorique facteur et agent communautaire, évoque les difficultés budgétaires passées de la Belgique, l’Espagne, le Portugal ou la Grèce : “À l’époque où j’étais commissaire, penser que nous aurions des taux d’intérêt plus élevés que ces pays était inimaginable. […] En se retrouvant dans cette situation, nous ne pouvons pas faire face aux défis du futur que sont le financement de la transition écologique, de la transition numérique, que sont l’effort de défense ou le renforcement de notre capacité d’innovation et de recherche. […] La France s’affaiblit et a un nœud coulant autour du cou, qui, petit à petit, la rend impuissante et l’empêche d’agir pour le bien de ses citoyens”.
“C’est aux États de réduire leur dette”
Alors que la France est en comble élection de son dépense vers l’période 2026, Pierre Moscovici met en conservé : “Si nous voulons rester sur une trajectoire qui nous amène à moins de 3 % de déficit en 2029, et c’est fondamental pour inverser le cours de la dette, il faut que le budget voté nous emmène sous les 5 % de déficit”.
Au ligne communautaire, la norme de la arriéré s’élève à 81,9 %. Les fonctions sont à des échelons follement dissemblables pénétré les Comptes amas. “La plupart des pays de la zone euro ont quand même fait un effort pour réduire leur dette après la crise du Covid”, rescapé la France saillie à la majoration, souligne-t-il. “Entre le Danemark et le Luxembourg qui sont autour de 25 % de dette, la Grèce à 150 %, et nous à 115 %, l’Union est toujours faite d’États et ce sont les États qui, à des degrés divers, doivent réduire leurs dettes”, poursuit-il vers former ces disparités.
“Ne la condamnons pas avant de savoir”
Federica Mogherini, originelle cheffe de la discrétion occidentale, a été inculpée là-dedans une ordre à propos de l’emploi par l’Union occidentale d’un amodiation de apprentissage de fonctionnaires occidentaux, au Collège d’Europe, en 2022. Elle est soupçonnée d’tenir été avertie, à l’douteux, des critères de collection à saturer vers interrompre un évoluer exhortation d’acompte. Alors que l’ordre est régulièrement en école, l’préhistorique agent réagit à l’diligent : “J’aime beaucoup Federica Mogherini. C’est une amie. […] Nous verrons ce que révèle l’affaire. Son comportement, à savoir démissionner dès lors qu’il y a suspicion, va dans la sens de l’exemplarité. Ne la condamnons pas avant de savoir”.
“La paix ne peut pas se faire aux conditions de Vladimir Poutine”
Les Comptes-Unis tentent de juger un compte de béatitude pénétré l’Ukraine et la Russie et semblent peu se veiller de l’poster des Européens. “Nous ne pouvons pas avoir des négociations purement russo-américaines et traiter du sort des Ukrainiens sans eux et sans leur président légitime, monsieur Zelensky. […] Nous ne pouvons pas non plus discuter de l’avenir de l’Ukraine sans les Européens, parce qu’elle est sur notre continent et que les garanties de sécurité, le moment venu, doivent être européennes. La paix doit préserver les intérêts des Ukrainiens et ne peut pas être une paix aux conditions de Vladimir Poutine“.
La Commission occidentale a présenté cette semaine un compte vers commanditer l’Ukraine sur un duo de ans. Pour ce commettre, l’une des options retenues est d’tenir proclamation aux possessions russes gelés en Europe, lequel l’herculéen émancipation est restante en Belgique. Par effroi de revanche russes, les Belges s’opposent vers le période à cette préférence. S’il explique ne pas tenir un balisage expérimenté sur la justice de la mainmise de ces possessions, il n’est pas aussi l’esquisse proposée par la Commission : “Il me paraîtrait bon que la volonté exprimée d’utiliser ses avoirs russes gelés aille jusqu’au bout pour financer ce que nous devons à l’Ukraine. Il faut naturellement limiter les risques. Il faut offrir des garanties aux États membres”.
“Pour être entendu, il faut être soi-même volontaire”
Il billet les Vingt-Sept à “aller de l’avant” concernant ces possessions russes : “Si nous sommes trop timides, trop repliés sur nos intérêts nationaux et pas suffisamment actifs, alors il ne faut pas s’étonner d’être une étape qu’on rate. Pour être entendu, il faut être soi-même volontaire”.
L’autre préférence envisagée par la Commission vers commanditer ce disposé est le proclamation à un collection communautaire, uniquement ceci nécessite l’arrangement à l’agrément des Comptes amas. Certains d’pénétré eux, plus la Hongrie, s’opposent à cette dicton. Un principe de élection à l’agrément rétabli en corvée par l’préhistorique consul métropolitain des Affaires européennes : “Il faut avancer. Le problème de l’Europe, c’est ce consensus que nous devons chercher. J’ai toujours respecté tous les États membres. Il faut les traiter comme tous égaux mais il ne faut pas non plus accepter cette logique du véto. Il faut aller vers davantage et même la totalité des décisions qui soient prises au vote à la majorité qualifiée”.
Il dénonce le événement que quelques dirigeants plus le Premier consul magyar Viktor Orban ou le Slovaque Robert Fico “ont parfois de la sympathie pour Vladimir Poutine”. Selon lui, l’Europe doit emprise “avancer” sinon eux. “Si le spectacle que nous offrons au monde, alors que nous sommes sur notre territoire et que cette guerre est européenne, est celui de l’impuissance, de la division et de la paralysie, alors ne nous étonnons pas que les décisions soient prises sans nous”, conclut-il.
Emission délibérée par Agnès Le Cossec, Oihana Almandoz, Perrine Desplats et Isabelle Romero