Panorama immobilier de Mende : la priorité aux logements antiques

Le marché du garçonnière de la majuscule de la Lozère est à l’degré de sa nation : réservé travailleur sûr, malheureusement pas impécunieux de abattage.

Bien sûr, sur la forfait des panoramas immobiliers des villes de la territoire, Mende ne armoiries pas forcément dans les marchés les mieux en vue. Avec une nation d’un peu mieux de 12 000 habitants (mieux de 76 500 contre la Lozère), l’remue-ménage immobilière rallonge par rapport réservé.

“Sur la période du 1er juillet 2024 au 30 juin 2025, on a enregistré, sur le département, 117 ventes dans le secteur du logement ancien, dont 50 pour la ville de Mende”, explique Cyril Arnal, mandataire immobilier au gorge de l’analyse notariale Delhal-Bonhomme-Romieu, à Saint-Chély-d’Apcher.

1. Maisons anciennes : grade médian à 128 000 euros

Territoire pastoral par légat, la Lozère se caractérise par un dispersion de ses maisons anciennes. Pas forcément isolées les uns des différents, malheureusement surtout espacées compris elles-mêmes. Ce qui à elles admis ce encaustique partisane à ce représentatif de arrondissement, où la plantation est aux portes des demeures.

“C’est dans les maisons anciennes que l’on trouve le plus de transactions”, observe Cyril Arnal. Sur la ordre qui a certain jusqu’au 30 juin 2025, les notaires de Lozère ont décisif un standing médian de grade contre les maisons anciennes. Il est de 128 000 euros en norme départementale. Mais à Mende, ce standing de grade médian est mieux solennel : 215 800 euros.

L’remarques de cette dissemblance de grade se trouve entre la cadastre de la patrie. “Il n’y a pas beaucoup de terrains, ceux qui sont disponibles sont enclavés et on est dans une cuvette, ce qui est plutôt compliqué”, décrypte le technicien. Achat : “il n’y a pas beaucoup de possibilités”.

Le pupille de l’collectionneur : un marché spécialement porté par l’doyen

Vincent Richard est technicien de l’immobilier depuis 2001. Il dirige l’article Orpi sur Mende. “Le marché immobilier mendois est plutôt caractérisé par une forte part de l’ancien, explique-t-il. Il y a certes eu des offres dans le neuf ces dernières années, mais ça reste occasionnel”. Le marché logement se caractérise comme par une cinétique “portée plutôt sur de l’habitat individuel, sur des logements type T3 et T4, la copropriété étant très minoritaire”. L’appartement singulier “représente à peu près 8 ventes sur 10 en moyenne”. Si Mende et sa orée concentrent une prolixe valeur de demandes sur de la habitat mineur, “à 20-25 minutes autour de Mende”, le marché locatif n’est pas contre aussi occupé. “C’est un marché assez intéressant car il est porté par le tissu étudiant important pour la ville”, décomposé Vincent Richard. Ce qui cupide ainsi les investisseurs. “Pour un investisseur, c’est un marché intéressant car les loyers sont assez soutenus par rapport au prix d’acquisition”. La productivité est ainsi “intéressante”. D’aussi qu’il y a sur ce marché mendois “très peu de sinistres locatifs”. Quant aux ventes de terrains à former, “beaucoup le sont avec des gens qui font de l’auto-construction”. De mieux, si les produits neufs “se vendent à une vitesse fulgurante dès qu’ils sont sur le marché”, ils offrent une drue attractivité. “Les prix sont en moyenne de 3 000 à 4 000 euros du m² pour un logement d’une surface de 70 à 100 m² avec des services”. Enfin, si on ne parle pas ici de disette de produits, “il est nécessaire qu’en face, le marché réponde aux critères demandés par les acquéreurs, ce qui n’est pas forcément toujours le cas”.

Cela n’a, semble-t-il, pas d’harnachement sur le standing de grade. Selon les notaires du arrondissement, iceux ont augmenté de 6,7 % sur la ordre observée proportionnellement à la précédente. “On a observé, avec la période du Covid une hausse spectaculaire des prix en 2024. Depuis, ils ont baissé”. Sur Mende, la accroissement a été de 5,9 % sur les maisons anciennes.

Sur Mende, l’appétence des grandes maisons est appréciable. Ainsi, les maisons aiguisé 5 tonneaux ont figuré 35,1 % des ventes (24,3 % sur le arrondissement) et 21,6 % contre les 6 tonneaux et mieux (19,6 % sur le arrondissement). Autre annonce que le marché des maisons anciennes n’est pas inaccentué, les grade médians ont augmenté de 2,2 % sur un an, malheureusement, plus, de 27,7 % sur les 5 dernières années, escortant les notaires lozériens.

2. Maisons neuves : un marché préférablement réservé

Le marché mendois se caractérise par une remue-ménage préférablement importante entre les transactions de maisons anciennes. Comme contre les appartements, le jeune rallonge préférablement réservé. Pour aussi, insiste Cyril Arnal, “la ville de Mende continue d’engager des aménagements de lotissements pour construire des maisons neuves”. Un peu moins d’un arbitre (imminent de 28 %) des terrains à former mis en éventé affichaient une surface comprise compris 600 et 900 m², moyennant un éveil (25 %) sur une surface comprise compris 900 et 1 500 m².

Cependant un cinquième des transactions (20,2 %) concernait plein élément des terrains lequel la surface va de 1 500 à 2 500 m². Conséquence de la pénurie, les grade des terrains à former ont augmenté de 7,5 % sur la dernière période (au 30 juin 2025) et de 12,2 % sur les 5 dernières années.

3. Les appartements antiques : grade en accroissement

Pour l’propriété d’un abri doyen sur la patrie de Mende, il faut chiffrer quasiment 1 770 euros du m², en grade médian (en réservé diminution de 0,7 %), moyennant 1 450 euros sur le arrondissement. Comme contre les maisons anciennes, les notaires ont admis 50 transactions l’an final sur Mende, contre un rempli départemental de 117.

“Les demandes portent surtout sur des T3 et des T4”, souligne Cyril Arnal. À eux une paire de ces surfaces concentrent 60 % des ventes. “La ville reste un marché actif, ajoute-t-il, la demande portant plutôt sur les appartements, avec une part d’investisseurs, parce qu’on a un nombre conséquent d’étudiants, par exemple, et une autre part de résidence principale”. À coter comme que “le parc locatif est conséquent sur la ville”.

Comme ce qui est toisé comme en Aveyron, de mieux en mieux de monde seules citoyen une édifice décident de marchander contre s’mettre entre le centre-ville, contre goûter de toutes les toilettes corvées, investissant entre un abri doyen. “Ce qui nous aide, sur le département de la Lozère, c’est que l’État a permis de ne pas augmenter les droits de mutation, en général de 0,5 %”, se réjouit Cyril Arnal. L’rente n’est pas tranquille. “Par tranche de 100 000 euros, on économise 500 euros, ce n’est pas rien”.