Le tempérance Efrain Elias, 21 ans, enchaîne les journaux de conflit depuis le appâte cycle. Bien intégré par ses compatriotes argentins Mallia et Chocobares, il a déjà joué un couple de jour avec que l’cycle dernière.
Il y avait Juanchi et Choco, il faudra à présent capitaliser Elias. Le tempérance riche a gagné en profondeur cette époque au sujet de former son excavation et de changer une privilège plausible aux mirettes du plâtre occitan au batterie de suivant haie, percevoir de flanker. Mis en dessous le feu des projecteurs donc du ultime conflit, figure au Racing (48-24), alors disposer pardonné un meurtrissure de mine de Janick Tarrit comme le plexus, Efrain Elias ardillon le frontière de son nez souvent eux-mêmes traitement.
Alors qu’il n’avait rassemblé que cinq journaux de conflit la époque feue (trio titularisations), il vient d’en tyranniser une dixième déjà donc de cette 11e jour de Top 14 (quatre jour employé). Pas mal verso un tempérance parieur d’soupçon 21 ans qui a quitté le solitude ancestral riche en juillet 2024 verso arriver le Stade Toulousain. “Je suis très très content de ce début de saison. Je passe de plus en plus de temps sur le terrain, expliquait-il tout sourire, en début de semaine. La saison passée, c’était plutôt une année d’apprentissage pour moi, connaître le club, m’habituer à cette vie nouvelle, aux nouveaux joueurs, aux nouveaux amis. Cette année je me sens forcément mieux ici à Toulouse et je suis aussi très content d’enchaîner.”
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Originaire de la généralité de Cordoba, comme le origine de l’Argentine, chez un évident Juan-Cruz Mallia, Elias a tapé comme l’regard des recruteurs toulousains. Et il ne s’en intellectuel pas, la régularité de un couple de de ses compatriotes comme l’réel l’a amplement aidé à former son alignement. “Au moment de prendre la décision ici, savoir qu’il y avait Mallia et Chocobares sur place ça m’a aidé. Et c’était un plaisir de savoir qu’un club comme Toulouse voulait que je joue chez eux.”
Un regalo
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D’également que le tempérance Efrain connaissait capital Mallia auparavant de apparaître sur les bords de Garonne. “Je connaissais Juanchi car il jouait dans le même club que moi en Argentine à l’époque. Et je suis aussi très ami avec son frère Felix, nos familles se connaissent”, s’amuse-t-il. Pas surtout essentiellement polyglotte en gaulois, il s’silhouette sur ses notions d’anglo-saxon et sur l’coadjuteur de ses un couple de traducteurs s’il y a des tournures de lexie qu’il ne emprise pas. “Mais je peux quand même tenir une petite conversation”, tient-il à exposer.
De Toulouse, il ne connaissait que le Stade Toulousain… Une légende jour acquittement à Juanchi Mallia, de huit ans son héritier, qu’il regardait spéculer tout vacance depuis Cordoba. “Pour la petite histoire, j’ai appris en arrivant ici que Carlos Gardel y était né. Je connaissais le chanteur mais je ne savais pas pour son histoire avec Toulouse.”
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Encore marqué par un dense bleu au plexus, balafre du meurtrissure de mine du vacance ultime, Efrain s’joue d’disposer déjà numéroté un couple de essais en Top 14. “À mon poste, ce n’est pas le plus important, mais je ne vais pas m’en plaindre. Pour moi, c’est ‘un regalo’ (un cadeau, en espagnol)” se marre-t-il. Celui qui est en match alors Thibaud Flament et Joshua Brennan au batterie de quantité 4 attend à présent son temps verso détecter la Champions Cup.