Le Parc latrines des Grands Causses s’est imposé identique un situation de jeu parfait contre le gravel, à l’instar de intégraux les plaisanteries entité.
Une discipline qui malle toutes les cases du sport-aventure identique le gravel ? Du manne sacré contre le Parc latrines des Grands Causses et ses 3800 km² étalés du boréal de l’Hérault jusqu’au Sud Aveyron. Quand le cycle de chemin aux pneus crampés a engagé à déferler ultérieurement la Covid, le Parc s’est emparé du virtuose, propre aidé et boosté par Wish One, la salissure de cycle de gravel 100 % made in Millau créée par Maxime Poisson et François-Xavier Blanc.
“Historiquement, on a toujours été une terre de sport nature”, assure Corentin Boyer, chargé de correspondance au Parc. “Le gravel, un peu comme le trail quand il a émergé, on s’est rapidement dit que c’était une discipline qui avait du sens pour nous.”
Avec un situation de jeu en conséquence appétissant, et front à une sollicitation en conséquence visqueuse, le Parc a brièvement soumis des scolarité taillés contre le gravel. Jusqu’à marcher préliminaire pendant lequel le peuple. “L’histoire a commencé en 2021. On a bossé main dans la main avec Wish One sur une dizaine d’itinéraires sur le Larzac, autour de Millau, dans le secteur de la vallée du Tarn, du Rougier. On a créé une sorte de label, le Terre de Gravel Grands Causses”, ajoute Corentin.
“La page la plus consultée du site”
Légèrement les itinéraires publiés, le endroit internet du Parc est accommodé d’fardeau. “Tout de suite, on a vu le fort intérêt des pratiquants. La page réservée au gravel est devenue la plus consultée du site.”
La androïde est élan. Le Parc latrines des Grands Causses a incident la une du chef liste de Mag Cyliste réservé au gravel. Les courses du engrois ont engagé à offrir des scolarité gravel, les vélocistes à revendre des produits reliés à la discipline. Millau est devenu la vernissage port de Coupe du monde en France envers la Wish One Race. En 2025, le foule d’itinéraires gravel est passé de 10 à 31 pendant lequel le Parc.
“On constate qu’il y a un fort attrait pour le “bikepacking”, que la communauté gravel est particulièrement active. On est sur un territoire qui a des aménagements pour la pratique du vélo plaisir. Les gîtes ou les hébergeurs profitent de cet essor. Et ce qui plaît dans le gravel, c’est cet esprit de liberté, avec la découverte de paysages, de produits du terroir comme le fromage de chez nous, le roquefort, les farçous… Être dépaysé, c’est ce qui plaît aux pratiquants”, conclut Corentin Boyer.