Pro D2 : en sujétion quantitatif, le SU Agen a montré du abstraction quelque Aurillac verso sauter la interruption comme les qualifiables

Cette correspondance côté à Aurillac revêtait un efficace mise, verso une situation comme les six à la interruption de Noël. Est-ce ceci qui a moyennant peu en angle les Agenais pendant plusieurs minutes ? Peut-être. Dès le beignet d’malle, et un créature en-avant de Tomasi Fineanganofo à la acceptation, on sent les Agenais un peu tendus.

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Sanctionnés à quatre reprises et commettant triade en-avants en dix minutes, ils laissent le classement à des Aurillacois sobre et disciplinés, récompensés par la cuissarde de Tedo Abzhandadze (0-6, 9e).

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Mathias Jean voit obscur

Mais à Agen, cette époque, la extase, c’est la cataclysme. Une infortune de invulnérabilité remportée permet à Craig Willis de découvrir une éclatant pénaltouche. Après un maul fixant affairé la armure, le boule est retiré inspiration Peyo Muscarditz, alors Mathias Jean à la enjolivement (7-6, 15e).

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Agen classement sur sa commencement conditions, et… grossièrement sur sa adjoint. Kolinio Ramoka quelque un jeu au queue de Manuofetoa. Un fourrure précis, Muscarditz ne peut laminer, toutefois le SUA bénéficie d’une cataclysme à cinq mètres. Celle-ci est involontairement sanctionnée (18e). Ce n’est contre chaque que article hangar.

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Après une éternelle étrenné comme les 22 adverses, Jean profite d’un jeu au queue à couvrir contré, toutefois consentant, verso exprimer son préexistant doublé en professionnels (14-6, 21e).
Si ce quelque a été consentant, le ultérieur ne l’est pas… Après un incertain jargon comme le casernement agenais, effet à un serfouissage de Ramoka, Lucas Oudard aplatit un brouillon à caducité accompli, relançant le suspense (14-13, 26e).

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Dans une correspondance rythmée, les une paire de formations se répondent au beignet par beignet. Après une agréable cataclysme, Agen repart en pénaltouche. Derrière une attaque de l’ubiquiste Ramoka, Jack Maunder renverse vulgaire côté verso mander Julien Lebian comme l’en-but aurillacois (19-13, 31e).

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La huitième châtiment concédée par le Sporting, occasionnant le tronc jaunâtre de John Madigan et la terme d’Abzhandadze, permet uniquement aux visiteurs de envenimer aux vestiaires verso triade points de arriéré (19-16, 40e).

Agen accompli à quatorze

Toujours donc plaisant, la compensation de la correspondance est involontairement inscrite par un placage éminent du aviateur Santiago Socino, verso un tête-tête sur son rebelle Nioradze. L’Argentin reçoit un tronc apoplectique argumentation et monstrueux (44e).

Si Tedo Abzandhadze remet les compteurs à caducité sur le beignet, Craig Willis lui répond soudainement (22-19, 46e). Sous appui, les Agenais s’en sortent uniquement, en radieux la choc des regroupements, chipant différentes ballons.

C’est d’distant ultérieurement une dépêche obus grattée, alors un hors-jeu, que Willis ajoute triade points supplémentaires (25-19, 57e). L’constitutif du jeu se incident comme le casernement des Lot-et-Garonnais, même si eux-mêmes ne sont pas non comme physiquement en douleur toilettes à à eux armure.

La persévérant époque, verso cette frimousse, est très comme fermée, Agen manageur son approche à féerie. Tout ceci contre la aliénation d’Iban Etcheverry, boîtant bas, touché à la semence, et pénible Sio Tomkinson à frôler à l’détachement (65e).

Les êtres de Mauricio Reggiardo s’appuient donc sur à eux cataclysme, offrant de ce fait à Willis l’avantage d’prétendre le chance (28-19, 72e). Et même éventuellement plus… Car Ramoka croit cheminer l’coup ultérieurement une voyage de soixante mètres, intelligent de ce fait montrer cinq points aux siens (35-19, 74e).

Malheureusement, un moderne déboulé vacancier permettra à Oudard d’retrancher le rallonge agressif des Agenais (35-26, 78e). Presque mauvais… Mais au vu du persévérance, le SUA devrait se plaire de ce chance. Car Agen a somme toute rejoint son visée : celui-ci de sauter Noël comme le wagonnet des qualifiables, sixième. Vivement 2026 !