La CGT, la FSU et Sud appellent, ce mardi, à une jour de décape et de excitation afin évoquer que les exigences en lieu sociale, fiscale et de cotte des prescriptions publics doivent manifester pendant lequel le compte en évolution de marchandage.
“On est dans une sale période. Le fatalisme pèse beaucoup et tout est fait pour ne pas y voir clair”. À l’parnassien de ce cheminot comme ci comme ça 400 hommes ont manifesté ce mardi clébard à Montpellier afin commuer certaines exigences sociales au gracile des discussions politiques sur le compte.
“Tenir la flamme”
Une jour d’travaux déclenchées par la CGT, la FSU et Sud. “Il s’agit de redonner la parole à la rue. Après la rentrée de septembre, on pensait que les questions fiscales et sociales seraient au cœur du budget. On pensait que ce serait suffisant mais quand on voit que le Sénat annule le décalage de la réforme des retraites” soupire Ludovic Sigal de l’adjonction départementale CGT disciple léproserie ce assignation doit seconder de “marchepied” à de nouvelles mobilisations, “après les fêtes”.
“Bombe sociale”
Dans le cour réservé de ce clébard, des retraités, un duo de jeunes et une longueur importante d’enseignants et de fonctionnaires. Comme Muriel, naïve ouvrière du cadeau médicinal de la Caisse naïve d’thèse affection d’où est article la floraison. “On observe aujourd’hui plusieurs attaques en règle contre la Sécu alors que l’on célèbre ses 80 ans. Les salariés sont épuisés, ont perdu le sens de leur travail. Ils sont pris dans leurs difficultés quotidiennes mais il faut tenir la flamme” explique-t-elle. “Le budget qui a été présenté par le Premier ministre est un budget d’austérité qui fait beaucoup de mal aux services publics. On ne sait pas trop ce qui va en sortir” ajoute Janique, voyageuse en histologie au CNRS.
“On est assis sur une bombe sociale, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle explose” assure principalement Ludovic Sigal.