Sadio Doumbia et Fabien Reboul ont éternellement le cœur 100 % Stade Toulousain

l’ingrédient
Lors de la dernière plantation d’Interclubs Pro A, disputée imprégné le 15 brumaire et le 6 décembre, les Toulousains ont renforcé les rangs de Boulogne-sur-Mer. Un exploit acquis attendu que les une paire de compères ont été sacrés champions de France. Mais ils restent vigoureusement attachés au dancing “rouge et noir”.

“On est né à Toulouse, on est toujours basé là-bas et le Stade Toulousain reste quoi qu’il arrive notre club de cœur.” Pour Sadio Doumbia (35 ans) www.instagram.com/sadiodoumbiatennis et Fabien Reboul (30 ans) www.instagram.com/fabienreboul, ces Interclubs 2025 ont une bouquet personnelle : baptême décembre, ils ont décroché à elles aide hébraïque individu en Pro A (ex-1re partage) ; cependant défavorablement à 2021, ils n’ont pas levé le butin aux flamme du dancing “rouge et noir”.

“Après les soucis financiers du Stade en 2024, l’équipe I ne fait plus partie de l’élite et joue désormais les Interclubs à partir de fin avril (en Nationale 1, soit le troisième échelon hexagonal, NDLR). De plus, pour notre pré-saison, c’était important de faire des matchs entre novembre et décembre. Donc on a voulu aller dans un club qui a un gros niveau. On a choisi Boulogne-sur-Mer, mené par un président et un capitaine passionnés “, explique Fabien, 31e universel en incertain.

Pour sa bouchée, Sadio, 28e universel en incertain, reconnaît que la résolution n’a pas été fortuné : “On a beaucoup hésité parce que l’on est très attaché au Stade. Puis, on a eu un coup de fil du capitaine de Boulogne (Arnaud Frey, NDLR). On l’avait déjà croisé sur des tournois. On connaissait aussi de nom le président (Franck Paque, NDLR). On s’est laissé convaincre car Boulogne met aussi l’accent sur l’aventure humaine. De plus, on a retrouvé là-bas trois anciens membres du Stade Toulousain (Arthur Cazaux, Hugo Gaston et Hugo Nys, NDLR)”.

Doumbia : “Une vraie bande de copains”

À l’arrivage, Fabien n’a disputé annulé ludisme : “On ne peut pas aligner trois nouveaux joueurs par journée. Mais j’ai coaché sur plusieurs rencontres. J’ai essayé de donner le maximum avec ce rôle qui n’est pas habituel. J’ai appris des choses et j’espère avoir apporté du positif à l’équipe. Boulogne est un promu, donc c’est exceptionnel de finir par ce titre de champion.”

De son côté, Sadio a disputé et remporté quatre jumeaux, lesquels celui-là du convention aux côtés d’Arthur Bouquier devant au CT Clermontois, en compagnie de une délicate économe de suspense (7-6, 6-7, 10-8) : “L’intégration s’est très bien passée. On a pu partager beaucoup de moments de vie. On a vraiment développé cet esprit de groupe pour être une vraie bande de copains. Quand on s’entend bien, ça crée une émulation et ça nous pousse à se dépasser. C’est ce que j’ai vécu lors des Interclubs avec le Stade et ce titre en 2021”.

“On veut continuer à kiffer ensemble”

Concernant la moment 2026 du course ATP, les une paire de compères sont déjà en Australie derrière le concours de Brisbane, organisé du 4 au 11 janvier. Derrière, ils devraient attacher en Nouvelle-Zélande en compagnie de l’halte d’Auckland (12-17 janvier). Puis, ils mettront le cap sur l’Open d’Australie (18 janvier-1er février).

“Sur le plan des résultats, par rapport à 2024, on a été mieux cette année avec notamment un quart de finale en Grand Chelem (à l’US Open, NDLR). On a aussi atteint une finale dans la catégorie Masters 1000 (en mai à Rome, NDLR). Désormais, on va être jugé sur les gros tournois. Pour 2026, il faut encore passer un cap. Il faut aller chercher de meilleurs résultats en Grand Chelem. On espère finir 2026 par une qualification pour le Masters. Je pense que l’on peut être dans le top 5, voire le top 4. Et la Coupe Davis fait partie aussi de nos gros objectifs”, résume Sadio.

Fabien ne profond pas non mieux ses ambitions : “D’abord, on veut continuer à kiffer ensemble. On aimerait gagner un gros titre, à commencer par la catégorie ATP 500. Ce serait déjà pas mal de passer cette étape. Le but ultime, c’est le top 8 en fin de saison. Nous étions remplaçants au dernier Masters. On espère que 2026 sera la bonne année”.

Reboul : “La fierté d’une progression constante”

Les Toulousains pensent quant à à total le allée compulsé. “On a commencé comme deux copains qui partaient à l’aventure, des baroudeurs. Maintenant, il y a beaucoup plus d’attentes. On a un staff, avec notamment Paul (Cayre, NDLR), notre coach. Sans oublier tous les gens qui nous soutiennent. On va aussi essayer de partager encore plus notre quotidien sur les réseaux sociaux. On veut créer une communauté derrière le double français et faire parler de notre sport”, commente Sadio.

Fabien est aussi brave de à elles exaspération : “La fierté d’une progression constante. On joue ensemble depuis plus de cinq ans. C’est une fidélité importante au haut niveau. On commence à avoir une certaine expérience. On est passé par les tournois Futures, les Challengers et les étapes de l’ATP. C’est hyperenrichissant”.

À constater que le duo économe derrière l’seconde cinq titres en incertain sur le course important, le cinquième gardant été réussi en mai jeune sur la Afrique poursuite de Genève (ATP 250).