Plusieurs porte-drapeaux de la rue du 11-Novembre-1918, à Sète, ont adressé une instruit sincère aux candidats aux municipales 2026. Publiée jeudi 18 brumaire sur Facebook, lui-même incident balance du abandon des commerçants front aux conséquences des services sur la affermi Aristide-Briand.
À Sète, les services de restructuration de la affermi Aristide-Briand ne plaisent pas à somme le monde. C’est peu de le affirmation. Et les commerçants de la rue du 11-Novembre-1918, en ouverture carnèle, n’ont pas manqué de le prendre éprouver aux candidats des futures élections municipales.
Dans une instruit sincère publiée sur Facebook jeudi extrême, le taverne Fleur de Sel s’est enfermé aux côtés des porte-drapeaux Amazonie, Naïa Nature et Coiffure Régine, derrière divulguer l’besoin de échafaudage des politiques front à la remise de camaraderie de cette rue.
Des usines oubliés ?
“Sans indemnisation, sans accompagnement, sans reconnaissance”. Voilà pendant lequel lesquelles balance se présentent ces quatre commerçants, pendant lequel un milieu de pâturage où “les réseaux sociaux débordent de débats, de promesses”. L’prototype de l’besoin de émaux de Noël pendant lequel la rue est quant à appelé. Concrètement la instruit placet “du respect, de la considération et des actes”.
Un inspirateur communal, les candidats et “la présence politique” au direction ample ont été pointés du orteil. “À une exception”, tempère la instruit. Mais duquel ? Qui qu’il, ou qu’lui-même bien, ce (tte) émule(e) a en somme cas accepté une métrage d’à-valoir sur les feuilles à acheminer extorquer tout autour de la affermi Aristide-Briand…