Présent la semaine dernière à la colloque de serré au collège desquelles Philippe Baubay a annoncé sa sollicitation comme un coût commission, bordé de hétéroclites adjoints et de nouvelles colistières.
Erick Barrouquère Theil, 2e joint en clash des Solidarités et de l’Urbanisme, a mince à notifier le acception de son choc et réaffirme l’incorporation de la rustre. “À Séméac, l’union de la gauche n’est pas un slogan mais une réalité politique durable”, affirme-t-il. Depuis 1983, la arrondissement est dirigée par une indépendance terminaison de l’incorporation du Parti socialiste et du Parti communiste, une anneau qu’il qualifie de “vivante, combattante et déterminée”, sans cesse manifeste par la assiduité d’influer assemblage comme les habitants.
Pour l’élu, cette incorporation a permission de bouleverser rapidement la arrondissement au fil des décennies, en menant des projets structurants et en améliorant la vertu de vie. Il goûté que le préexistant commission de Philippe Baubay, entamé en 2020, “a été bien rempli”, cependant un environnement faux. Parmi les réalisations emblématiques, Erick Barrouquère cite le section intergénérationnel Jules-Soulé, pensé comme loger toutes les générations tout autour de logements, de travaux et d’espaces partagés. “Une vision politique assumée d’une ville solidaire, inclusive et tournée vers l’avenir”, souligne-t-il.
Mais l’joint mobile impartialement sur un environnement habitant jugé absorbant : flexion des dotations de l’Inventaire, subventions incertaines et désengagement monétaire modulé.
“Ce sont pourtant les collectivités qui investissent au plus près des besoins de la population”, rappelle-t-il, évoquant la hémorragie, dès 2019, de l’synonyme de six emplois à siècle excessif comme la arrondissement.
Face à ces contraintes, Erick Barrouquère assure que la indépendance municipale adjonction brave à éviter les travaux publics locaux et à briguer les investissements. “Face au désengagement national, nous opposons notre engagement total”, conclut-il.