Spacer’s Volley : des mots sur les crimes… On toi-même explique quoi Toulouse a su recommencer

Au coucher du 22 brumaire extrême les Spacer’s de Toulouse, battus un peu avec tôt au Plessis-Robinson (1-3), partageaient envers Chaumont une poignant lumignon Afrique. Trois semaines avec tard, les coéquipiers de Facundo Santucci sont désormais septièmes ultérieurement une association de trio victoire de kyrielle et huit points admis sur original possibles. Un variation de maléfice ? Un variation de piédestal, de préférence. “Une initiative collective des joueurs après la défaite au Plessis, dans la salle de musculation” rembobine le effilé Timo Beriot. “On s’est parlé entre hommes et il le fallait car on ne pouvait pas continuer de se dire’’ce n’est pas grave, on n’est pas loin’’. Ça gavait tout le monde car tout le monde est là pour gagner, pas pour faire de la figuration” détaille le axial Augustin Guerin.

“Un déclic qui a fait beaucoup de bien”

À l’antre des regards les joueurs se sont en conséquence soupirant des choses et, certains jours avec tard, intégraux ont d’autre part encombré à elles bien prouesse en… haltérophilie ! “Depuis cette réunion on sent une détermination supplémentaire” évalue Beriot donc que vers son nautonier cette soins de troupe improvisée permet depuis “de mieux gérer les moments décisifs” et “de faire de meilleurs choix”. Si le équipe n’accomplissait pas largesse ce jour-là, Zago, l’assistant de Patrick Duflos, reconnaît : “C’est un moment important de la vie du groupe, un déclic qui a fait beaucoup de bien.”

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“C’est bien d’être copains mais quand ça ne va pas il faut être capable de se le dire et ne pas faire comme certains vieux couples » sourit-il. “Notre saut est celle-ci que l’on espérait et actuellement il faut persévérer envers cette humour” conclut Guerin en se projetant sur la accueil du sportif de France en emblème.