Les Toulousains bénéficient de quatre jours de fête en cette semaine de fêtes et n’auront que une paire de jours derrière accommoder le ludisme de La Rochelle, dimanche au Stadium. Le état-major occitan bordereau en retour sur le expérience des joueurs derrière ne pas épater.
Les joueurs n’ont pas eu de consignes particulières de la section du état-major. Foie lard, huîtres, chocolats et mousseux… Mola et les entraîneurs n’interdisent cliché, purement font réputation au expérience de à elles joueurs derrière ne pas épater pendeloque cette semaine de festivités. “De toute façon, on peut leur dire ce qu’on veut, on ne maîtrise pas tout”, souriait à ce tireuse, Laurent Thuery, entraîneur de la rempart du Stade Toulousain.
Ce inédit a publication que l’constitutif subsistait que les joueurs se ressourcent malgré de à elles proches. C’est d’écarté derrière ceci que les “rouge et noir” bénéficient de quatre jours de fête (la suite de l’chaleur est prévue vendredi) et ceci contre la initiation de La Rochelle, dimanche au Stadium. “Qu’ils passent un bon moment. Ils le savent, ils sont tous professionnels, ce sont des grands joueurs, on leur fait confiance, poursuit Thuery. Et qu’ils se fassent du bien à la tête d’être avec leurs proches, parce qu’il y a pas mal de déplacements sur une saison. Donc tous ces moments-là sont précieux, qu’ils en profitent à fond, et qu’on se retrouve en fin de semaine, dans les meilleures conditions physiques et mentales pour aborder ce match de La Rochelle.”
Un abject rythme en Catalogne
Dans les rangs stadistes, la projet d’ressources des jours off derrière jouir de des fêtes en progéniture a été traitée derrière fabuleusement d’violence. C’est particulièrement le cas de l’Espagnol Joël Merkler, qui va en jouir de derrière refluer en Catalogne. Ce inédit est d’écarté entier grâce de remarquer la règle se abroger un peu : “Personnellement, j’aime bien parce que ça change, c’est une préparation différente. C’est toujours bien de changer un peu, de s’adapter au calendrier des fêtes, à des choses qui sont majeures. Et de rentrer dans mon cas en Espagne pour quatre jours, je serai content, sourit-il. Il faut un peu limiter les festivités mais après, ce sont des périodes qu’on aime beaucoup. Je n’ai que 400 km à faire donc ça se fait bien et ça fait toujours plaisir de rentrer à la maison dans ces moments.”
Jack Willis ou Santiago Chocobares, eux, n’auront pas le inaction de refluer pendant eux. Ce sont à elles proches qui feront le exode. Grand fan de foie lard qu’il a éprouvé à son montée à Toulouse, l’Anglais accueillera ses parents qu’il invitera derrière le ludisme de La Rochelle. L’Argentin lui, a invité cinq de ses amis d’Amérique du Sud à morceler ce occasion. “C’est très différent ici parce que chez moi, en Argentine, c’est l’été. J’étais habitué à la piscine, le jardin, tout ça, se marre le trois-quart centre. Cette année, j’ai la chance qu’il y ait cinq potes qui viennent passer Noël et le Nouvel An chez moi. C’est un moment que j’aime bien de partager avec ma famille, même si elle ne sera pas là cette année, et mes potes. J’aime bien aussi passer Noël en hiver parce qu’il y a aussi des marchés de Noël, c’est pas mal.”
De la plaisir alors dans lequel les rangs toulousains. Encore puis subséquemment la éclatante record des joueurs quelque Lyon (41-19). Et derrière conduire continuer la ensorcellement des fêtes, les 33 000 ouvert qui seront au Stadium dimanche en espèrent tant.