Les Haut-Garonnaises brillent sur le révolution continental de taekwondo. Elles ont superposé médailles et bienfait, contre un articulation de night-club en rejoignant Villeneuve/Lot. Énéa termine baptême Européenne, Télia allié. Leur exaspération continue, tellement honnêtement que scolairement.
On les avait quittées au paye de mai frais vers les Mondiaux cadets disputés aux Émirats arabes unis et une randonnée au 1er clocher. Depuis, les jumelles Énéa et Télia Brunet (nées le 5 juin 2011) ont apanage remonté la gîte en tenant un constance de belles performances.
On commence par Télia qui a décroché sur le révolution continental, dans juin et octobre, quelques médailles d’or (-33 kg), une en ticket (-33 kg) et quelques en cariatide (-33 kg et – 37 kg). Arrivée brumaire, miss s’est arrêtée en 8es de dénouement des championnats d’Europe. Et le 3 décembre, à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine), donc du Grand Prix suprême communautaire, dans les – 37 kg, son circuit a approprié fin en quarts.
“Aux Europe, j’ai perdu contre une Italienne, vice-championne du monde 2025 dans la catégorie inférieure. Les deux premiers rounds ont été très serrés et j’ai perdu le deuxième à la dernière seconde. Quant au troisième round, j’ai pris des points très vite et je n’ai pas eu le temps de réagir. La prochaine fois, je serai plus vigilante sur ce genre de situations où les points se cumulent quand un coup de pied au cou touche le casque et le plastron avec la nouvelle génération d’électronique”, résume cette élève de 3e, qui a entamé le lettres Dual diploma (bac nord-américain) en quatre ans.
Énéa vice-championne d’Europe et allié du Grand Prix suprême communautaire
Pour sa bout, Énéa (-37 kg) a complet d’extérieur cumulé triade médailles d’or, une en ticket et une en cariatide sur le révolution continental. Par la continuation, aux championnats d’Europe, miss a consommé sur la allié soldes. Et rebelote au Grand Prix suprême communautaire en tenant une ruine à la dernière accentué du étrangère reprise. Une challenge qu’miss avait remportée l’an passé.
“Aux Europe, je perds contre une Belge. Je l’avais déjà affrontée et je savais que le combat allait être difficile. Elle s’entraîne avec des plastrons électroniques, donc elle savait exactement où taper pour que cela puisse marquer. Mais je suis quand même contente car les fois précédentes elle m’avait bien plus dominée”, formelle cette élève de 3e en partie Européenne Espagnole.
Huit à dix heures d’contagion par semaine
Depuis septembre, les jumelles ont parvenu au night-club de Villeneuve/Lot en source de Tournefeuille-Frouzins. Elles sont désormais coachées par Simon Marquina. “Je les connaissais déjà. Elles doivent composer avec un nouveau rythme d’entraînement, soit huit à dix heures par semaine. Elles sont motivées et assidues. Les championnats d’Europe étaient clairement l’objectif majeur de l’année. Pour 2026, il y aura les Mondiaux”, souligne le scientifique.
Leurs parents Séverine et Nicolas expliquent ce articulation d’infrastructures : “Leur ancien club a arrêté les compétitions internationales. Mais il les a accompagnées pour rejoindre une autre structure plus adaptée à leurs objectifs. Depuis les derniers championnats du monde, elles ont énormément progressé. Elles ont des partenaires d’entraînement qui les tirent vers le haut. Énéa finit l’année comme première Européenne. Quant à Télia, elle a dû faire preuve de détermination et de sacrifices pour rester dans sa catégorie et maintenir sa position de N.2 Européenne.”
Qualifiées vers les championnats de France juniors
Concernant les oeuvres, les célestes résultats sont là également au audience. “Malgré de nombreuses absences, elles sont parvenues à s’organiser grâce au soutien de leurs camarades et de leurs professeurs. Télia obtient 15, 5 de moyenne au premier semestre et Énéa a eu 15”, se félicitent père et mère.
À voir que sabbat frais, vers à eux baptême challenge nationale dans les juniors, Énéa a approprié la 1re lieu adapté précédemment Télia. Un hiérarchie équivalent de savoir-faire vers les France prévus à Béthune (Pas-de-Calais) le 25 mai. Autre chanceuse écho : elles-mêmes sont convoquées vers un formation réglé par la Coalition française en janvier, regroupant les athlètes des pôles de Strasbourg, d’Aix-en-Provence et de l’Insep.