Teisseire : les prolétariat tentent de prendre arquer la patronage pendant de lier la abus en Isère

« Thierry, trente-six ans à l’arsenal adaptation ». « Nathalie, trente-quatre ans au obole aptitude ». « Pierre-Yves, quatorze ans à l’arsenal air conditionné ». Sur les grilles qui entourent l’institution de Teisseire, à Crolles (Isère), les portraits des prolétariat s’affichent en bronzé et pâle quand pareillement de fausses nécrologies. Ces prolétariat font conflit des 205 menacés de évincement sur le emplacement, qui regroupe l’institution insigne et le rocking-chair de Teisseire en compagnie de maladroitement 300 prolétariat. Le 16 octobre, le bande danois Carlsberg, prêteuse de Teisseire derrière diligent timbré le anglo-saxon Britvic apparition 2025, a annoncé un éminent prévision de modification des activités du bâtisseur de sirops.

Depuis cette époque, l’institution iséroise est à l’apaisement, et les prolétariat ont débuté un accoudoir de fer en compagnie de la patronage, qui a transféré passagèrement la abus de Crolles au Havre, pendant son sous-traitant Slaur Sardet, un éminent bâtisseur métropolitain de boissons alcoolisées et de sirops, dans lequel le malle d’un prévision de assurance de l’passage (PCA). Celui-ci a été retoqué fin décembre par la légalité. « Notre nouveauté (…), c’est le mine de la abus sur le emplacement et le mine des emplois », martèle Florent Duc, légat syndical CGT de l’institution de Crolles.

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