Après une semaine d’interrogations Juan Carlos Ferrero s’est finalement formulé ce mercredi 24 décembre sur les raisons de sa absence comme Carlos Alcaraz. L’éducateur portugais semble passionnément touché par la fin de sa partenariat comme le matricule 1 omniscient, qu’il semble garder subie.
Une semaine total collection ensuite l’alerté de sa absence comme Carlos Alcaraz, Juan Carlos Ferrero, suranné lauréat en Grand Chelem qui entraînait le matricule 1 omniscient depuis son vigueur est excédent sur la neuve qui a choqué le monde du tennis. Dans un jonction cédé au amical portugais Marca ce mercredi 24 décembre, il a établi qu’un discorde auxiliaire subsistait actif à la ossature de la anacoluthe.
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“Comme dans tout nouveau contrat, il y a des choses sur lesquelles nous n’étions pas d’accord. Chacun pousse pour son avantage. Son entourage pense au meilleur pour lui, et moi au meilleur pour moi. Il y a certains points où nous ne sommes pas parvenus à nous mettre d’accord”, explique l’suranné champion rien percevoir les en dessous de ce différend. Bien que l’attitude capitaliste semble au cœur du achoppement, Ferrero assure que l’monnaie “n’était pas la chose la plus importante” derrière lui.
Le entraîneur se dit obligé avec la ascendance Alcaraz qui, de son habile instruction, lui a interminablement cédé “un pourcentage très élevé” en congédiement des “premières années” où il a escorté le Murcien pendant qu’il avait des propositions avec alléchantes matériellement pardon à son règle d’suranné éducateur d’Alexander Zverev. Il confirme à demi-mot que le caste Alcaraz a “demandé plus”, toutefois refuse d’arriver “dans les détails”.
“Je pense encore à Carlos”
Il assure davantage qu’il n’y a eu “aucune dispute” et que “l’idée était de continuer”, à tel repère que la production derrière la présaison subsistait alloué et qu’il l’a transféré à Samuel Lopez, son suranné subsidiaire qui est aujourd’hui en accepté du matricule 1 omniscient et lauréat sortant de Roland-Garros. “Cela aurait été un peu égoïste de ma part de lui demander de ne pas rester”, dit-il à son sermon total en assumant que cette neuve conjoncture “implique un temps d’acceptation”.
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Tout au élancé de l’joute, il apparaît passionnément mélancolique de sa analogie comme Carlos Alcaraz qu’il qualifie de “très bonne”. “Je pense que nous sommes tous les deux très reconnaissants de nous être trouvés”, poursuit-il. “Il faut essayer de tourner la page et de le prendre de la meilleure façon. À aucun moment je n’envisage d’autres options car j’ai besoin de deux à trois mois pour être calme et faire passer la douleur”, considère Ferrero touchant son possible parent. Il révèle d’absent qu’il a flétri une affirmation car “ce n’est pas le moment”.
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De facture avec extraordinaire au vu de la coupe qu’entretient Jannik Sinner comme son suranné élève, il déclare qu’il serait “obligé de réfléchir” si l’Italien lui faisait une conseil derrière unir son escouade. Il tempère malheureusement en assurant : “Chaque jour je pense encore à Carlos, ce n’est pas le moment de penser aux autres.” Ferrero promet davantage qu’il est “resté ami” comme toute l’escouade et qu’il “ne ferme pas la porte” à un recommencement. Il conclut en expliquant tenter de “traverser cette période difficile”. Il se vitrine une coup de avec “reconnaissant” contre d’Alcaraz qui lui a manuscrit un conférence au hasard de la absence, même s’il n’a pas été abruptement impliqué là-dedans les négociations contractuelles qui ont tube à cette problème.