Tensions au giron du jiu-jitsu Villefranche : onze responsables claquent la barbelé du assemblée

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Des tensions liées au ouvert du couches seraient à l’préliminaire de cette exaspération.

Mais que s’est-il passé au “Judo Villefranche” ? Onze abats sur quinze du soirée responsable ont annoncé à elles renonciation le 3 décembre 2025, via un billet de promptitude, au giron de ce qui blason comment l’un des clubs les davantage primordiaux de Villefranche-de-Rouergue.

“Le club vient de traverser quelques turbulences, nous dirons seulement qu’il s’agissait juste de faire respecter certaines dispositions du droit du travail”, indiquent les démissionnaires, laquelle les prénoms sont autant stipulés : Laurent, Sylvie, Franck, Annie, Emmeric, Ludovic, Jean-Marc, Alain, Laurent, Ludovic et Jeremy. Parmi eux, on comptabilité le administrateur, la rédacteur et le payeur.

“Remercier avant tout les adhérents”

Il semblerait, en résultat, que le avertissement de prud’entités a été hagard, pour que l’visite du couches, vers icelui qui accomplissait mieux le administrateur du night-club : Laurent Alibert.

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Ce nouveau admet diligent “démissionné en raison de tensions au sein du club. Il y a des choses qui se sont passées, je préfère partir et ne pas continuer”. Quant aux problèmes liés au ouvert du couches, un agençant qui n’est pas irresponsable, l’préhistorique manageur confie “des tensions avec un salarié. J’ai pensé aux judokas. Avec un professeur, ça ne se passait pas bien, j’ai voulu apaiser le jeu. On a deux solutions : soit on rentre dans une guerre des tranchées, soit on veut sauvegarder le judo et on arrête tout. Donc, j’ai décidé de partir, la secrétaire et le trésorier aussi. Huit autres personnes ont suivi”. Des absences au couches d’un manoeuvre pourraient individu la départ du attaque.

L’préhistorique administrateur Laurent Alibert en compagnie de le caîd Benjamin Axus, et paire vieux responsables Max Déléris et Guy Labro (de rustre à carrée).
Archives DDM

Celui qui a été administrateur oscillant un et chope, et pilon du night-club depuis 15 ans, ne souhaite pas en attestation davantage, par tourment de “ne pas mettre de l’huile sur le feu, ne pas régler cela sur la place publique. Notre communiqué avait pour ambition de remercier les adhérents du club, et signifier la fin d’une époque”. Cependant, il indique que désormais “les choses sont dans les clous, il (un salarié, NDLR) a le droit de ne pas être content avec son employeur”.

Marion Pradal, pressentie vers muter la information présidente du Judo Villefranche, n’a pas souhaité s’narrer sur le objet. “Je n’ai rien à déclarer. Des gens ont démissionné, les choses sont rentrées dans les règles”.

En espoir d’une ténacité procédurier

Du côté de la commune, l’adjointe en comptable des divertissements Stéphanie Bayol confirme diligent eu “des échos, entendu des rumeurs” sur des problèmes au giron du night-club, “mais je n’ai pas plus d’info que vous. J’ai découvert cela ce matin (le 4 décembre, NDLR)”.

De davantage, si la rudimentaire verse une importante pension à la architecture sportive, vers l’préférée, cette baroud résidu “privée. Cela ne nous regarde pas, c’est leur problème. Ce qui m’importe, c’est que nos citoyens puissent bénéficier de l’activité”.

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Judo Villefranche reçoit le caîd, Benjamin Axus

Toutefois, et en faculté de l’viatique découvert expert, l’adjointe aux divertissements positive diligent demandé à avertir le bleu assemblée du night-club. Et la commune promet d’catéchiser en place du péroraison de l’baroud. “Si c’est porté au tribunal, il y aura une décision judiciaire. On verra…”, assure Stéphanie Bayol.

Judo Villefranche, lui, devrait terminer après-midi à de nouvelles élections de son assemblée. Pour les onze démissionnaires, il à elles restera en énoncé “plus de trente ans d’engagement et donc de nombreux souvenirs, difficiles à résumer en quelques mots”.