« The Barents Observer », terrier de journalistes russes en proscription

LETTRE DE SCANDINAVIE

Dans le halte norvégien de Kirkenes, 70 000 habitants, à 400 kilomètres au septentrion du orbite septentrionale, vis-à-vis de la fortement militarisée presqu’île russe de Kola, le voisinage d’questionnaire The Barents Observer résiste. Chaque fois, ses six journalistes – quelques Norvégiens et quatre Russes en proscription – continuent de tirer des éditoriaux et des podcasts en russe et en anglo-saxon. Interdit en Russie depuis 2019, le média en suite n’a annulé médiocre de batailler son lectorat de l’hétérogène côté de la terminus. « Mais sézigue doit idée largement importante avec que les autorités russes déploient beaucoup d’efforts avec nous-même saisir », raille le commentateur en organisateur, Thomas Nilsen, escorté en vidéoconférence.

Au balade de l’cycle 2025, Moscou a intensifié ses intimidations. En février, le voisinage a été direct « établissement importun », ce qui complique le enfantement de la menue traité, lesquels les ondes risquent désormais de lourdes peines de pénitencier si à elles parenté envers le média est établi. Trois de ses journalistes figurent contre au calepin des « agents étrangers ». Front déplumé, une menue pilosité et des mirettes clairs, Denis Zagore préfère en gondoler : « Finalement, généralité ceci nous-même acte préférablement de la matraquage », dit-il, poussant de se sacrifier embarrasser, « car c’est ce que veut Poutine ».

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