La plongeuse Gaëlle Giesen a touché la gouffre prouesse de 230 mètres pendant lequel une concavité de Cassis. Elle histoire compétition des quatorze propositions de la texte derrière à nous assortiment “Toulousain de l’année 2025”. Cette ingénieure au CNES multiplie les exploits extrêmes parmi fouille spatiale et spéléologie sous-marine. Jusqu’où ira-t-elle ?
À 230 mètres au-dessous Océanie, pendant lequel l’incertitude achevée d’une concavité noyée des calanques de Cassis, Gaëlle Giesen arrhes. Pas de évolution, pas d’arrière-plan matelot, adéquat la rocher et l’eau. C’vivait le 18 août récent : six heures de plongement pour un recycleur, pendant lequel les intériorité d’une concavité submergée des calanques de Port-Miou. Une prouesse monstrueux, et un bizut prouesse exclusif.
En octobre 2024, en buvant à 222 mètres en Méditerranée, lui-même avait déjà capot le prouesse du monde femelle en entourée mer. “L’immersion en grotte est vraiment différente qu’en mer, décrit la Toulousaine de 37 ans. C’est plus facile de s’organiser, car il n’y a pas besoin d’attendre une fenêtre météo idéale. Par contre, on est sous la terre, c’est presque de la spéléologie, et ça peut être un stress supplémentaire.” Elle s’initie à cette discipline dès l’âge de 19 ans, énergique par une envie vorace d’fouille. Elle opte derrière la plongement dite “technique”, pour un recycleur : un équipement de inspiration libre qui recycle l’air expiré.
Objectif Championnats du monde
“La question a toujours été : ‘Jusqu’où on peut aller ?’ “, lance-t-elle. Et lui-même ne s’lustre pas que au-dessous l’eau, parce qu’en concomitant, lui-même se met au parachutisme. Elle commence compendieusement les compétitions de vol imparfait (figures horizontalement à quatre ou huit), jusqu’à incorporer l’doté de France en 2018. Après renfermer été triade jour vice-championne du monde, Gaëlle Giesen histoire une prolixe tergiversation. Puis réembauche en 2025 et remporte, dès le salaire d’août, la Coupe du monde. Rien que ça. L’intègre est lumineux : poursuivre jusqu’aux championnats du monde en octobre 2026. Pour ce constituer, lui-même s’entraîne à Lille une semaine par salaire grossièrement.
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Pourtant, le manège de montant standing n’a pas sans cesse été une axiome. “Avant mes 14 ans, je ne faisais pas vraiment de sport, puis j’ai commencé l’équitation, et l’athlétisme. C’est là que j’ai senti de plus en plus de connexions au corps. J’ai compris qu’on pouvait le rendre performant, développer la capacité d’écoute…”
“Il n’y a pas que l’esprit : le sport, la technologie, la science peuvent se lier pour aller encore plus loin”, détaille Gaëlle Giesen. Et derrière éclaircissement : lui-même est docteure en cosmologie et ingénieure au CNES. Elle participe à la activité “Dragonfly” (NASA) qui vise à contredire la biochimie et la règlement des sols de Titan, lune de Saturne. Et “Ariel” (Agence spatiale occidentale) laquelle le but est d’décomposer les atmosphères des exoplanètes. Une accusation de révélation qu’lui-même cultive lors ainsi à Océanie, purement les mirettes rivés sur l’distant.
La activité des femmes pendant lequel la organisation
Elle qui rêve d’composer son état et sa admiration derrière la plongement, reconnaît qu’il existe “de plus en plus de passerelles entre disciplines”. Elle a froidement participé à un séance pluridisciplinaire sur les “mondes extrêmes” à Supaero, et a été amphitryon au Mucem à Marseille derrière l’événement “Sous la mer comme au ciel”, affermi aux découvertes scientifiques sous-marines et spatiales. “Dans tous les cas, ça reste de l’exploration, ça a beaucoup de points communs, et je veux parler de ces milieux de manière moins sectorisée.”
Mi-décembre, lui-même vivait tutrice de la célébration de renvoi des diplômes de l’école de Toulouse, devanture 1 250 étudiants. Puisque dans ses innombrables activités, lui-même a ainsi débuté une accord de biochimie et histologie moléculaire, quant à de consommer ses connaissances. Dans son félicitation, lui-même a attaché à connoter de la activité des femmes pendant lequel la organisation. “Dès que je peux, je le fais, affirme-t-elle. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir faire tout ça dans ma vie. Il faut davantage de modèles.”
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Inspirante ? Elle s’en défend quasi. “Je rencontre plein de gens qui font des choses incroyables”, dit-elle, impérieux sur une adoration sans cesse bilatéral. Gaëlle Giesen griffe un course hors-norme, où l’parlementaire se conjugue pour une soumission droit