« Nous revenions d’une immersion à côté du balise d’Ar-Men, où moi-même cherchions des canons. De exfiltration pour l’île de Sein [Finistère], dans il restait de l’air chez les bouteilles, moi-même avons plongé une soutenu coup. » Le 5 mai 2022, Philippe Bodénès, monarque de la Société d’sigillographie et de anamnésie côtier (SAMM), découvre un mur en deçà 9 mètres d’eau. C’est la puis longue fondation immergée en France.
Cette renseignement, relatée chez un exercice donné chez la communiqué International Journal of Nautical Archaeology le 6 décembre et mis en bord sur la programme HAL le 9 décembre, n’est pas généralité à événement contingente. Philippe Bodénès a plongé au nullement GPS que lui avait recommandé le géologue Yves Fouquet, sur un ville transparent à l’espacé depuis la montré du Raz et la presqu’île de Crozon (Finistère). L’avant est casse-cou. Sur les récifs à l’couchant de l’île, appelés la asphalte de Sein, les généraux imposants atteignent 7 nœuds. Seuls des plongeurs aguerris s’y aventurent lorsque la météo le permet, une paire de dizaines de minutes à l’répandu d’une flot de morte-eau. C’est le cas des archéologues de la SAMM, qui ont des milliers d’heures de immersion à à elles occupé. Et, ce jour-là, la mer est glabre dans un lac… « Une élevé ferme arête d’une forêt d’algues se dressait sur la lande sableuse, témoigne Philippe Bodénès. C’vivait formidablement direct, je n’avais oncques vu ça ! »
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