La entremetteur du état Maud Bregeon avalisé entre une entrevue à La Tribune Dimanche qu’une désistement du Premier parlementaire Sébastien Lecornu “n’aurait pas de sens”.
Sébastien Lecornu vit des montagnes russes émotionnelles. L’exploration du canevas de salaire 2026 de l’Facture et du canevas de salaire de la Quiétude nationale par l’Assemblée nationale et le Conseil ont donné des sueurs froides au Premier parlementaire. Prochaine époque contre le état : un nomination climatérique du canevas de loi de la Quiétude sociale (PLFSS) le mardi 9 décembre. Sur X, Sébastien Lecornu a soldat les députés à élire contre “en conscience, pour l’intérêt général”.
À deviner en conséquence :
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Si les députés rejetaient le PLFSS, Sébastien Lecornu présenterait-il sa désistement à Emmanuel Macron ? “Cela n’aurait pas de sens”, répond la entremetteur du état entre une entrevue à La Tribune Dimanche. “Sinon, il aurait engagé la responsabilité du gouvernement”. Elle redit que l’application de l’partie 49.3 de la Constitution est exclue. Maud Bregeon explique qu’une désistement “ajouterait de la crise à la crise, de l’instabilité, et cela interromprait toutes les discussions budgétaires en cours”.
Comme le Premier parlementaire, Maud Bregeon commerce les élus à la rôle. “Dans ce vote, plus que le seul budget de la Sécurité sociale, c’est l’image collective de la classe politique qui se joue”. Elle se dit convaincue que l’choix du PLFSS facilitera contre la succession l’choix du canevas de loi de richesse (PLF) qui doit accéder entre sa dernière rangée nette.