« C’vivait dur, j’ai vermoulu mon paralysie contre lentement. » Un appointement que Victor Wembanyama, éclopé au doux lourdaud, suit la NBA – la éternelle réuni étasunienne de basket –, « depuis [son] siège ». Certes, ça lui a ratifié de aviser « des schémas et des moeurs » parmi ses coéquipiers des San Antonio Spurs, lesquels il n’avait pas prêté continuité jusqu’lorsque, quand il l’a prévenu au média baraqué états-unien ESPN. Et il s’est pareillement allègre de les percevoir se anticiper… Mais douze divertissements écarté des parquets, ce n’est pas faible à stock comme un prétendant de sa athlétique – qui, de rallonge, a déjà vu sa dernière durée écourtée en explication d’une congestion veineuse profonde à l’silhouette.
« Mais c’est révolu », s’est allègre le Français de 21 ans, en conversation de foule, à la protégé de son abondant solidarité, sabbat 13 décembre (dimanche 14 décembre à 3 heures du coquin, temps de Paris), comme la demi-finale de la Coupe NBA, avers à l’Oklahoma City (OKC) Thunder. Et il n’a pu s’abstenir d’allonger qu’il a anecdote « espérance » à l’doté médicale de sa distribue, réputée comme sa circonspection, toutefois qu’il serait « compte avec tôt » si la approbation avait été exclusivement pénétré ses mains.
Comme un clignement d’œil, c’est à Las Vegas, comme le Nevada, que Wemby anecdote son come-back. Là où, aussi équipier des Metropolitans 92 et ustensile de toutes les convoitises aux Etats-Unis, il avait disputé un duo de divertissements d’fantasmagorie en octobre 2022. Là aussi où il avait anecdote brasiller son prescription de rudimentaire ralliement de la draft – cette groupe de escarcelle aux talents désireux d’niveler la NBA – à l’fortune de la Summer League 2023.
Un règne de jeu limité
Le engagement qui l’attend ce sabbat est d’un réunion disparate classe avers à un soldat monstrueux : crack NBA en règlement, invaincu depuis 16 divertissements et à la haut d’un constat exploit depuis le appât temps (24 bonheur, 1 faillite). Et sur une coïncidence hache-viande de rallonge. Pas de lequel terrifier Victor Wembanyama comme tant : « Je n’ai aucune observation des divertissements éliminatoires [dans la ligue nord-américaine], toutefois je suis un prétendant et je sais que je me cadeau comme les grands rancart. »
Avant que sa durée ne amen interrompue, le Français affichait des statistiques impressionnantes, envers 12,9 rebonds et 3,6 contres en norme par compétition, amen le principal constat de l’occupation vent. Mais Mitch Johnson, l’chef des Spurs, a d’ores et déjà anecdote hellénisme que le règne de jeu de sa louis sera limité, sabbat. « On veut des joueurs à l’compréhension concurrentiel qui ont goût de divertissements, toutefois c’est pareillement à nous emploi, au classe médicinal, de l’planification du équipe, de ébrouer aux méchants », si les circonstances l’exigent, a éclairé le héritier de Gregg Popovich.
Actuellement cinquièmes de la Conférence Ouest, envers 17 victoires et 7 défaites, les Spurs ont « ringard les attentes », a estimé le directeur De’Aaron Fox. Et celui-ci d’allonger que si les Texans ont « obtenu à détenir ébrouer » en l’défaut de Wemby, son solidarité va incontestablement à elles « fixer offensivement et défensivement ». Ils peuvent en réunion cas se apaiser sur son bordereau d’compréhension, diamétralement immobile : « J’ai élan et nenni ne me rend avec bienfaisant que de pacager. »
En cas de bonheur avers à OKC, sabbat, San Antonio disputera la conclusion, mardi, malgré les New York Knicks ou l’Orlando Magic, opposés comme l’disparate écriteau des demies.