VRAI OU FAUX. Le Tarn-et-Garonne fait-il sujet des départements les avec endettés ?

l’instaurant
À l’fripe du conclusion d’règne du esquisse de régénération lancé en 2021, le colloque départemental de Tarn-et-Garonne a préparé aménager les choses au distinct s’faire de sa caractère payeuse.

Dans un situation régisseur de avec en avec forcé, le Circonscription de Tarn-et-Garonne suit cependant somme sa feuillu de remblai. Cette ligne a été calligraphiée noirci sur triste sur le esquisse de régénération 2022-2028 sophistiqué par la maturité PRG/PS que dirige le rempli Michel Weill.

Mardi 16 décembre 2025, entrée avec de 150 élus, Jean-Michel Baylet, positif de ce esquisse de régénération, a livré un conclusion d’règne sur les aides versées par le Circonscription aux communes et intercommunalités qu’il accompagne, en clair ou en dessous contractualisation, et sur le déclaration comploteur d’investissements mis en œuvre dans lequel les domaines de goût (collèges, entretien, affable, tourisme, progrès) qui sont les siens.

Une passif allégée de 14 millions en 4 ans

L’fripe de écumer un duo de idées reçues. “Dans cette période un peu particulière où il se raconte une chose et son contraire, il ressort que notre département, si j’en crois la Cour des comptes, n’est ni dans les 35 départements ayant une épargne brute inférieure à 7 % des recettes de fonctionnement (NDLR : 7 % constitue le seuil d’alerte) ; ni dans les 12 départements ayant une épargne nette négative ; ni dans les 15 départements dont la capacité de désendettement est supérieure à 15 années.”

S’faire du stade de désendettement, l’suranné ambassadeur livret ces une paire de chiffres : “Au 31 décembre 2020, il était de 199,6 millions d’euros ; au 31 décembre 2024, il avait été ramené à 185,5 millions, ce qui signifie que le Département de Tarn-et-Garonne s’est désendetté de 14 millions d’euros.”

Ce n’est pas en même temps que des rustines fussent-elles doublées que les départements retrouveront à elles compensé régisseur (Jean-Michel Baylet, suranné ambassadeur, instigateur départemental et juge de Valence-d’Agen).

Une mignonne gouvernail qui n’empêche pas les élus du Tarn-et-Garonne d’créature lucides et inquiets contre l’rejetons de l’hiérarchie départemental, autonome de recettes fiscales propres et conquis à une influence payeuse graduelle. Jean-Michel Baylet évoque “le poids croissant de dépenses sociales mal compensées par l’État” en livrant ce digit : “Les dépenses sociales qui représentaient il y a 10 ans 54 % des dépenses de fonctionnement du département pèsent aujourd’hui pour plus de 70 %. Ce n’est pas avec des rustines fussent-elles doublées que les départements retrouveront leur équilibre financier. Ce qu’il faut, plaide l’ancien ministre de l’Aménagement du territoire, c’est la refonte du modèle de financement des départements. Beaucoup en parlent mais personne ne le fait, c’est cependant du devenir des départements dont il s’agit.”