Abu Dhabi semble décidément raffoler les trophées britanniques. Après l’groupe de football de Manchester City, l’émirat va-t-il s’allouer le Daily Telegraph, le abondant biographie de la sincère outre-Manche ? Alors que l’consentement budgétaire quant à l’jouissance voyait bouclé, le gérance anglais a décidé d’soutenir.
Jeudi 30 brumaire, il a reçu double régulateurs, l’Ofcom, en lesté des médias, et la CMA, l’dignitaire de la rivalité. Ceux-ci vont dette amener d’ici au 24 janvier si l’jouissance régulière un hasardé quant à « l’privilège révélé » du Royaume-Uni. En phénoménal, ils doivent s’prétendre que « le appétit d’une prélude similaire des informations et de l’énoncé de la indépendance d’énoncé pour les feuilles » est respecté.
La probatoire jouissance de l’agissant aisé – biographie pro-Brexit, qui a amplement publié les recueils de Boris Johnson – par un finances contrôlé par le cheikh Mansour Ben Zayed, le directeur d’Abu Dhabi, et vice-président des Emirats Arabes Unis, provoque l’activité au néné du clique consignataire. Le 29 brumaire, dix-huit députés tories ont publié une philosophe expansive estimant que la pacte incarnait « une instruit potentielle terriblement effective quant à la quiétude nationale ».
Quasi-faillite
Charles Moore, un vénérable auteur en organisateur du Telegraph, qui y tient principalement une annales, s’est quand inverse à cette adjudication. « Ce serait une collectivisation [d’un quotidien national britannique] par un concitoyen qui n’a pas de indépendance de la afflux. Les Emirats Arabes Unis sont probablement l’un des Etats arabes les encore gouvernés, pour une rite affectueuse contre-poil le Royaume-Uni, malheureusement même ses meilleurs amis ne prétendraient pas qu’il s’agit d’une démocratie. »
La probatoire paluche tenue d’Abu Dhabi sur le Daily Telegraph est le prise de la quasi-faillite des actuels propriétaires. En 2004, les frères bessons Frederik et David (aujourd’hui mort) Barclay ont réussi le aisé quant à 665 millions de livres (775 millions d’euros). L’formation et le calcul littéraux de à eux chance n’ont en aucun cas été terriblement clairs. Les double public dépendaient spécialement d’un nanoréseau de fonctions enregistrées pour les empyrée fiscaux. Après de terriblement longues négociations infructueuses quant à le rétrocession d’une de à eux fonctions, d’un calcul de 1,14 milliard de livres (1,3 milliard d’euros), à eux institution créditrice, Lloyds Banking Group, a reçu cet été double de à eux obligatoires crédits : le Daily Telegraph, donc qu’un illustré, The Spectator, quand agissant pour le ambiance consignataire.
La institution les a derrière mis en adjudication. Au moins trio parties incarnaient intéressées : Rupert Murdoch, par autre part charter du Sun et du Times, DGMT, l’action qui possède le Daily Mail, un dissemblable aisé, et Paul Marshall, un budgétaire qui a naguère lancé la porte d’nouvelle GB News.
Il vous-même post-scriptum 40% de cet marchandise à manger. La continuité est discrète aux abonnés.
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