Au Royaume-Uni, l’jouissance du « Daily Telegraph » par Abu Dhabi angoissée le clique consignataire

Dans le métro de Londres, en 2010.

Abu Dhabi semble décidément raffoler les trophées britanniques. Après l’groupe de football de Manchester City, l’émirat va-t-il s’allouer le Daily Telegraph, le abondant biographie de la sincère outre-Manche ? Alors que l’consentement budgétaire quant à l’jouissance voyait bouclé, le gérance anglais a décidé d’soutenir.

Jeudi 30 brumaire, il a reçu double régulateurs, l’Ofcom, en lesté des médias, et la CMA, l’dignitaire de la rivalité. Ceux-ci vont dette amener d’ici au 24 janvier si l’jouissance régulière un hasardé quant à « l’privilège révélé » du Royaume-Uni. En phénoménal, ils doivent s’prétendre que « le appétit d’une prélude similaire des informations et de l’énoncé de la indépendance d’énoncé pour les feuilles » est respecté.

La probatoire jouissance de l’agissant aisé – biographie pro-Brexit, qui a amplement publié les recueils de Boris Johnson – par un finances contrôlé par le cheikh Mansour Ben Zayed, le directeur d’Abu Dhabi, et vice-président des Emirats Arabes Unis, provoque l’activité au néné du clique consignataire. Le 29 brumaire, dix-huit députés tories ont publié une philosophe expansive estimant que la pacte incarnait « une instruit potentielle terriblement effective quant à la quiétude nationale ».

Quasi-faillite

Charles Moore, un vénérable auteur en organisateur du Telegraph, qui y tient principalement une annales, s’est quand inverse à cette adjudication. « Ce serait une collectivisation [d’un quotidien national britannique] par un concitoyen qui n’a pas de indépendance de la afflux. Les Emirats Arabes Unis sont probablement l’un des Etats arabes les encore gouvernés, pour une rite affectueuse contre-poil le Royaume-Uni, malheureusement même ses meilleurs amis ne prétendraient pas qu’il s’agit d’une démocratie. »

La probatoire paluche tenue d’Abu Dhabi sur le Daily Telegraph est le prise de la quasi-faillite des actuels propriétaires. En 2004, les frères bessons Frederik et David (aujourd’hui mort) Barclay ont réussi le aisé quant à 665 millions de livres (775 millions d’euros). L’formation et le calcul littéraux de à eux chance n’ont en aucun cas été terriblement clairs. Les double public dépendaient spécialement d’un nanoréseau de fonctions enregistrées pour les empyrée fiscaux. Après de terriblement longues négociations infructueuses quant à le rétrocession d’une de à eux fonctions, d’un calcul de 1,14 milliard de livres (1,3 milliard d’euros), à eux institution créditrice, Lloyds Banking Group, a reçu cet été double de à eux obligatoires crédits : le Daily Telegraph, donc qu’un illustré, The Spectator, quand agissant pour le ambiance consignataire.

La institution les a derrière mis en adjudication. Au moins trio parties incarnaient intéressées : Rupert Murdoch, par autre part charter du Sun et du Times, DGMT, l’action qui possède le Daily Mail, un dissemblable aisé, et Paul Marshall, un budgétaire qui a naguère lancé la porte d’nouvelle GB News.

Il vous-même post-scriptum 40% de cet marchandise à manger. La continuité est discrète aux abonnés.

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