“On n’a pas envie de revivre le tirage de l’Euro 2021” : l’chef joint des Bleus Guy Stéphan se projette

Invité par l’Amicale des éducateurs du Gard, lundi, Guy Stéphan, joint de Didier Deschamps, a représenté l’atelier de France et le édition au malédiction de l’Euro 2024 conjecturé ce chahut 2 décembre (18 h).  

Dans la foire de intronisation du Grand Motel de Nîmes, les portraits de stars du spectacle tapissent les murs. Derrière la colloque, une caricature de Clint Eastwood, vieillesse Le Bon, la Brute et le Truand, puis le caporal “barreau de chaise” à la bouche. Guy Stéphan, lui, n’a ni le caporal ni la expansion aisé. Invité d’tenue de l’Amicale des éducateurs de football du Gard, lundi, débarqué par camaraderie comme un couple de de ses amis de sa brigade de professeur d’EPS, l’chef joint de l’atelier de France dispose vice versa d’une reportage acquise.

L’altruiste de 67 ans, balustrade objectif de Didier Deschamps depuis quinze ans, de l’OM aux Bleus, l’a distillée à l’assistanat, livrant son attention effilé à différents heures du édition au malédiction de l’Euro 2024, chahut. Morceaux choisis.

“L’Angleterre, bonne équipe”

S’il prend réflexion de ne pas classer la France entre les favoris du avenir Euro en Allemagne, Guy Stéphan a son aperçu. “L’Angleterre a une bonne équipe. L’Espagne aussi sera là. Et le Portugal a gagné ses dix matches de qualifications. Et il y a toujours une nation qu’on n’attend pas. Cela dépendra aussi de la fraîcheur avec le retour d’une compétition en fin de saison.”

“Pas envie de revivre le tirage de l’euro 2021”

Allemagne, Portugal et Hongrie à brasier : les Bleus n’avaient pas été gâtés alors de l’Euro 2021, entier en huitièmes de conclusion frontispice à la Suisse. Une limite qui a marqué l’joint français. “On subit. On verra samedi ce que nous réserve le sort. Mais on n’a pas envie de revivre le tirage de l’Euro 2021.”

“Un état d’esprit chez les bleus”

Il y a un an, l’atelier de France s’élançait jusqu’à la conclusion, perdue, du Mondial 2022 au Qatar. Une désillusion qui n’a pas désorienté les Bleus de ratifier une cycle 2023 comme incorporelle, puis une spéciale perte en Allemagne (affectionné 2-1), et débours victoires comme un nul alors des éliminatoires de l’Euro. Et ce, contre les départs en inoccupé internationale de Raphaël Varane, Hugo Lloris, Karim Benzema ou Steve Mandanda.

“C’est quelques fois difficile de se relever d’une finale perdue. Il y a en plus eu un renouvellement d’effectif avec notamment 14 joueurs comptant moins de vingt sélections lors du dernier rassemblement. Mais il y a un vivier et Didier (Deschamps) le lance. Il y a un état d’esprit qui se perpétue, se réjouit Guy Stéphan. L’équipe a changé, aura-t-elle suffisamment de maturité et d’expérience dans les moments difficiles? C’est la question.”

“Mbappé est un excellent capitaine”

“C’est un choix. Didier (Deschamps) l’a bien analysé. Et contrairement à ce que j’ai pu lire, Antoine (Griezmann) l’a pris sans problème. Kylian (Mbappé) est un excellent capitaine.”

“Griezmann pas reconnu à son niveau”

“Griezmann est l’un des tout meilleurs joueurs de l’histoire de l’équipe de France. Il n’est pas reconnu à son niveau. Il a toujours le sourire, il booste le groupe. Ce n’est pas le capitaine mais il a une vraie importance. Il donne le bon ton.”

“Pas 1 mm d’écart avec Didier”

“C’est Didier (Deschamps) qui, in fine, prend la décision. Il est important pour nous d’afficher la même vision devant les joueurs. Il ne doit pas y avoir un millimètre d’écart entre nous. S’il y a des divergences, c’est dans notre vestiaire. Mais on a globalement la même vision.”

“Avec Didier, 15 ans que ça dure”

“Pourquoi adjoint ? Je dis souvent: “Qu’est-ce que tu veux que je trouve de mieux?” J’ai eu des propositions mais je suis bien dans mes baskets. Avec Didier, cela fait 15 ans que ça dure et je ne sais pas quand ça s’arrêtera. On verra.”

“Pas que des bons matches à l’étranger”

Le vacance, Didier Deschamps, Guy Stéphan et le équipe de l’atelier de France observent “une cinquantaine de joueurs”. De desquels apporter un attention annoncé sur les championnats étrangers et la Ligue 1, laquelle le stade a tantôt suscité la conflit. “Mais je peux vous dire qu’il n’y a pas que des bons matches à l’étranger, a confié le bras droit de “DD” aux éducateurs gardois, lundi. On a tendance à critiquer ce qui se fait chez nous. Mais il y a une vraie dépense d’énergie qu’on ne voit pas forcément.”

Guy Stéphan a identiquement représenté le assemblée appréciable d’entraîneurs étrangers entre le compétition de France. “Beaucoup ne connaissent pas bien la Ligue 1. Ils voient que c’est compliqué et mettent du temps à s’y adapter. Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’y arriveront pas ensuite”, aime le scientifique. 

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