TFC : “Guillaume Restes ? Fabien Barthez m’a dit que c’était un monstre !”

l’ingrédient Certitude du apparition saison à Toulouse, en Ligue 1 et gratuitement parmi les Espoirs où il est devenu fonctionnaire, Guillaume Restes a mieux attaqué une segment prépondérante parmi le dédicace téféciste à Linz en Autriche (2-1), jeudi 14 décembre. Valant acte avec les barrages de la Ligue Europa au traitement de février. Spécialiste du e-mail, Philippe Bergeroo, 69 ans, retraité du monde du baudruche bombé depuis 2016 et naviguant convaincu son Pays flanc originaire et les Pyrénées commingeoises, quelques-uns opuscule son œil d’collectionneur.

“Il y a trois ans, j’avais rencontré Fabien (Barthez) qui était consultant auprès de l’ensemble des gardiens de but du club [novembre 2020-septembre 2021]. Il m’avait avoué : Philippe, j’ai un jeune, je pense qu’il va percer. C’est un monstre. Perso je dirais qu’il a quelque chose de Maignan, que j’ai connu dans les sélections de jeunes. Parce qu’il est grand ; il faut d’ailleurs qu’il travaille encore en vivacité, sur le démarrage. Et il n’a que 18 ans. Mais il est prêt dans la tête. Aussi.”

A dilapider de ce fait : TFC : “Pourquoi pas un troisième exploit” espère l’doyen Toulousain Philippe Bergeroo qui commente la appréciation avec les barrages

Les gloire sont tressés par Philippe Bergeroo, qu’on ne emmanché comme : surveillant et nautonier symbolique des Violets convaincu 1983 et 1988 – acteur de l’exclusion du Naples de Maradona en 1986, mondial A (3 sél.) comme instructeur.

“Un bon goal est à la base un joueur qui est très bien coordonné. Et la coordination tu l’as, en principe, quand tu pratiques plusieurs sports dans ta jeunesse. Fabien avait joué au rugby, tennis : gamin, il faisait plein de trucs. Le spécifique, il y aura tout le temps après pour un goal de s’y consacrer. Mais en pratiquant plein d’activités, tu apprends un maximum des gestes.”

Son mystère, l’renversement de mains

“Restes, poursuit le colosse qui vit dans un village de 300 âmes entre Saint-Gaudens et Saint-Girons, je l’ai découvert sur un arrêt : un ballon brossé, il avait fait une inversion de mains et, ça, tu n’en vois pas beaucoup. Je m’explique : si c’est un ballon côté gauche, tu ne vas pas le chercher main gauche mais main droite car en te contorsionnant tu gagnes 5-6cm. Et Guillaume le fait et à gauche et à droite, sur des tirs mi-hauteur, sortants. C’est très rare. Moi je ne le faisais qu’à gauche par exemple…”

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