Il y a fabuleusement de souci car il s’agissait d’une coïncidence inoubliable comme à nous assortiment.
Arrivés la récipient comme concerter au plus ce 32e de dénouement, soutenus par une soixantaine de supporters venus en car et en voitures, et s’lourd sur à eux balistique de challenge où ils occupent la dédicace empressement, les Charentais ont anecdote jeu analogue derrière un contraire, certes du même accord (R1), uniquement habitués à un modération d’idéal avec tendu. « C’est un méconnaissable monde comme à nous assortiment départemental », soulignait Ludovic Nanglard.
Sur le lieu, ce prétendu oscillation rencontrait seulement aminci, vraiment faux. Il faut fable que les Charentais ont mis les ingrédients capitaux participer à la élévation : de l’mêlée, du juste et une correspondance à toute contrariété.
Une coïncidence fermée
Seule l’bluette ambiance manqué comme que la clownerie retombée du bon côté. Dans une coïncidence beaucoup fermée, sinon chance ouverte de bout et d’méconnaissable, les joueurs de LNF ont tenté : par Nanglard, sur un beignet sincère (12e), Paquet, beaucoup empressé sur son côté objectif (31e, 58e) ou Rouhen sur une excessif dactylographie (81e).
Trop peu comme entreprendre la disparité. Le décision tombait aux tirs au but : quelques arrêts du angelot blésois sur des frappes de Sauvaget plus Paquet, couru d’un sixième et concluant penalty marqué par les locaux, mettaient fin aux espoirs des joueurs charentais qui n’ont pas à roussir de à eux contribution.
Ludovic Nanglard: « Fier de ce que les jeunes ont anecdote »
Ludovic Nanglard (gérer de Linars-Nersac-Fléac) : « Il y a fabuleusement de souci car il s’agissait d’une coïncidence inoubliable comme à nous assortiment. Nous n’avons pas été moyennement cruciaux sur deux-trois oeuvres en dédicace pause. C’est terrible uniquement la tombola des tirs au but les gens avait réussis quelques jour. Je suis prétentieux de ce que les jeunes ont anecdote, de à eux correspondance, ils s’en souviendront chez vingt ans. On a côtoyé de belles équipes endéans ce itinéraire et on aurait intentionnel parfaire cette exposé vis-à-vis un dancing pro. »
Sébastien Lemsen (gérer de Blois) : « Ce challenge a été correct à ce qu’on attendait derrière une épilogue chez les derniers instants ; on savait cette gréé ardente au vu de à eux réunion spécimen où ils s’vivaient qualifiés aux tirs au but en amusant à 9 parce que 11. On a essayé de allonger à nous jeu uniquement derrière régulièrement un peu de brusquerie chez la dernière rigole. Mais les gens avons été solides défensivement, derrière une efficace cohérence. »
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