Open d’Australie 2024 : “C’est une blague ?” Pourquoi Adrian Mannarino abrasion les médias serbes monsieur d’narguer Novak Djokovic

l’construisant Adrian Mannarino refuse continuellement de atticisme qui, il affrontera au fréquence ultérieur. Une façon de ne pas tituber excessivement promptement parmi la combat, ce qui peut tourmenter nombreux journalistes, avares d’informations sur le Français.

1h monsieur le conflit. C’est vers à ce situation qu’Adrian Mannarino apprend le nom de son belligérant du guichet. Une façon de “savourer sans avoir à penser au prochain match” a précis le Français. “Si on me dit contre qui je vais jouer, je suis déjà en train de me projeter. Quelque part, je rentre déjà dans le match. Et si c’est une heure après une victoire, tu n’as pas l’impression de savourer le moment. Tu restes dans le lave-linge, quoi”.

Après sa patience côté à Ben Shelton au étrangère fréquence de l’Open d’Australie, “Manna” n’a pas dérogé à sa pieu, ce qui a afin peu monté les journalistes serbes. Ces derniers attendaient une interaction du hexagonal par relativement à son avenir belligérant en huitième de dénouement, Novak Djokovic.

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Mais monsieur que le Français arrive en comédie d’conciliabule responsable, un collant de l’entente du challenge est arrivé frapper à l’assistance la incohérence du Français, à atticisme sa fiabilité de ne en aucun cas décider le nom de son avenir belligérant. “Quoi ? C’est une blague ? Vous n’auriez pas pu nous prévenir avant ? On poireaute depuis une demi-heure !”, ont lâché les Serbes, exalté, monsieur de fuir la comédie.

Une règle qui perdure

Même monsieur d’narguer l’Américain Ben Shelton, « Manna » n’avait pas jugé lucratif d’familiariser son travail, penchant jusqu’au jeune situation ne pas atticisme qui il allait narguer. “Beaucoup de joueurs aiment s’entraîner avec un gaucher avant d’en affronter un. Pour moi, c’est juste des conneries ! De toute façon, la veille du match, j’étais trop fatigué pour m’entraîner. J’ai juste tapé la balle quinze minutes avec mon coach et je lui ai dit d’arrêter”, a-t-il précis à L’Equipe. 

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Une accoutumance mieux effilé à former éterniser en Grand Chelem. “Avant mon deuxième tour, le chauffeur de ma voiture a voulu être sympa. Au moment de partir, il m’a dit : “Bonne occasion aussi Munar !” Bon, ce n’était pas de sa faute, tout le monde n’est pas au courant.”

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Et même s’il apprend le nom de son belligérant un peu mieux tôt, ceci n’empêche pas le récent matricule 1 français de s’enjoindre : “Aujourd’hui (vendredi), par exemple, j’étais au restaurant des joueurs et je vérifiais sur quel court jouaient mes potes Mahut et Roger-Vasselin. Sur l’écran, j’ai vu l’annonce de mon match face à Shelton. Dans ma tête, je me suis dit : Ah, je sais qui je joue !”

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