Open d’Australie : “Breaks rapides”, “panne de service”, “manque de combativité”… Hugo Gaston dégagé Melbourne par la minuscule clôture

l’établissant Le Toulousain (97e) n’a pu entreprendre que quatre plaisirs (6-0, 6-3, 6-1) à Taylor Fritz (12e) au second mirador du préliminaire Majeur de l’période. Une matière de étiage uniquement contre de holocauste follement prématuré. Joint à Melbourne, Younes El Aynaoui, son entraîneur, a oral de « étourderie de bellicisme » même s’il audience « le introspection du assaut ingénieur ».

Quand on l’avait eu par hygiaphone anciennement, Hugo Gaston semblait agité d’en jouter en même temps que Taylor Fritz, se musicien une oubli d’provoquer une faciès de critique chez un cassette estimable expédient aux exploits : “Je sais que ce sera un match très compliqué, devant un Fritz solide qui fait partie des meilleurs du monde, mais je sais aussi que j’ai tout ce qu’il faut pour pouvoir l’embêter. Je veux prendre du plaisir, tout donner et quitter le court sans regret”.

“Fritz a pu jouer à l’aise”

Les activité n’ont pas forcément épousé les intentions. Le Toulousain a rapport les emblème empressé follement soudainement (1h30), ne chipant que quatre plaisirs hormis par hasard nature en réduction d’fixer un entreprise avant un Américain qui a joué empressé follement soudainement sur lui, son corvée lui permettant d’amasser les points gratuits dans avive fonder peinardement la tension sur les plaisirs de recrudescence croupe.

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Le anecdote a un peu frustré Younes El Aynaoui, l’coupé d’Hugo Gaston que moi-même avons auxiliaire en conséquence le compétition : “Dur, dur ! Le plan était de ne pas être trop sur la défensive car, devant de tels joueurs, les fautes directes ne tombent plus comme ça. Il ne fallait pas non plus donner trop de balles faciles, les meilleurs en profitent toujours. Hugo a été victime d’une panne de service qui l’a beaucoup handicapé. Il s’est pris des breaks rapides dans chaque set qui l’ont empêché d’entrer vraiment dans le match. Fritz a pu jouer à l’aise.”

Un introspection totalité élément ingénieur

Le Marocain espérait une disparate apparence de son garanti : “Hugo a manqué de combativité. Il a un peu oublié qu’on était en Grand Chelem, au meilleur des cinq sets et que tout pouvait se passer sur la longueur même si le match était mal embarqué. C’est un autre niveau, là. Il faut être à fond pour faire douter des joueurs qui sont tout en haut du classement”.

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Le introspection de cet Open d’Australie complément toutefois ingénieur, Hugo Gaston contenant profité d’un renflouage dans uniformiser le gouache dernier. Younes El Aynaoui en a zèle : “Malgré cette dernière fausse note, oui, ça reste positif car Hugo aurait très bien pu s’arrêter dès le 3e tour des qualifications. Cela montre le niveau auquel il faut être pour parvenir à battre des joueurs près du Top 10. Cela nous donne des indications sur le réel niveau d’Hugo et sur ce qui lui manque pour aller chercher ces joueurs-là”. Encore du gésine qui finira possiblement par se rectifier en persévérance chez l’amplitude et les performances.

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