Nokia a souffert l’an final. Ses résultats annuels, publiés ce jeudi, ne sont miette florissants. Ses ventes ont dégringolé de 11%, à alors de 22 milliards d’euros. Idem dans son grâce net, qui a chuté de 84%, à 679 millions d’euros. A l’instar d’Ericsson, son vaste ennemi suédois, le prodigieux finlandais des équipements télécoms souffre d’une décrépitude des commandes des opérateurs, quel repoussent à elles investissements chez la 5G.
C’est principalement établi aux Etats-Unis. Au région de l’Oncle Sam, les opérateurs ont considérablement exalté le pédicule sur le déploiement de la 5G. Ce qui handicape Nokia, laquelle les marges sont principalement importantes chez ce région. Le réuni finlandais s’est, en injuste, cataclysme dérober par Ericsson un méga-contrat de 14 milliards de dollars derrière l’cameraman AT&T, moyennant de réactualiser son tissage agile. Ce plaie dur a obligé Nokia à reconsidérer à la décrépitude son cible d’valorisation : il vise désormais les 13% en 2026, afin 14% précocement. Nokia souffre identiquement en Inde. Après ressources arrivé des mamelons, ce marché ralentit, et se normalise.
Pekka Lundmark, le PDG de Nokia, considère que les opérateurs, confrontés à l’augmentation et à un arrière-plan bon marché rébarbatif, ont décidé de se compresser la périphérie sur le apparence des investissements. « En 2023, certains avons assisté à un révolution bavard du maintien des clients chez à nous contrée, au-dessous l’conclusion de l’milieu macroéconomique et des pourcentage d’commission élevés, de la sorte que de la résolution des stocks des clients », déplore le gestionnaire.
Celui-ci se désenveloppé, purement, moins catastrophiste qu’Ericsson dans 2024. Alors que celui-ci a favorable s’musarder à un nouveau emploi rébarbatif, le PDG de Nokia, lui, considère que le bain des toilette s’améliore. « Nous avons manifeste une affermissement expressive des prises de commandes au quatrième trimestre, en extraordinaire chez le ferme de l’base des réseaux, ce qui indique au moins une effective affermissement de l’milieu brigadier des dépenses », affirme-t-il.
D’importantes coupes d’effectifs
En attendant que les nuages noirs disparaissent, le gestionnaire n’entend pas surnager les balancier croisés. Il noté, particulièrement, astreindre une « discipline en question de coûts ». En octobre final, le réuni finlandais a annoncé un titanesque avant-projet de suppressions de postes. Il noté se fixer de 9.000 à 14.000 postes, sur un entier de 86.000.
Les contradictoires antennes européennes du réuni s’attendent à assumer à elles témoignage. Au entier, ce sont 2.500 postes qui devraient éloigner sur le Vieux Continent. On ignore, principalement, quel nombre de postes seront supprimés chez l’Hexagone. Interrogé par La Tribune, Olivier Marcé, coursier syndical axial de la CFE-CGC, droite que dans le conjoncture, quelque région communautaire semble se confer enlever de 10% de ses troupes. Ce qui correspondrait à lourdement 270 foule en France.
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