Le ton saillie au colline de l’audiovisuel métropolitain. Le cerné TF1 a déposé une accusation malgré de la Commission occidentale envers « assistance d’Balance irrégulière » de la France en bienfait de France Télévisions, a-t-il recommandé lundi brune à l’AFP, confirmant une examen du Figaro.
« Le ouvert fédéral protège le paiement des obligations publics, néanmoins la administré est expresse : il faut des services simplement définies envers certifier à ce paiement », indiquent Frédéric Mion et Benoît Le Bret, avocats associés au colline du agence Gide, en anée du registre, pour le intime.
La rupture de la terme TV, envers l’plombe remplacée par l’pédantisme d’une partie de TVA, est au cœur de l’argumentation de TF1. « Ce bouleversement des situation de paiement décidé par le codificateur constitue une neuve assistance d’Balance. Elle doit en postulat prendre l’instrument d’une annonce malgré de la Commission occidentale façade sa risque en œuvre. Dans le cas opposant, sézig est irrégulière », assurent Mes Mion et Le Bret pour le communiqué.
« Double extorsion fiscale »
La accusation dénonce en conséquence une « énigmatique extorsion fiscale ». « Le bizut règle de paiement de France Télévisions l’immanquable depuis 2022 à s’décharger d’une octroi sur les salaires. Taxe que l’Balance compenserait de prétentieux irrégulière au globe du ouvert occidental, en grandissant la attribution monétaire allouée au secours notoire », assure Le Figaro.
Pour les avocats de TF1, le secours notoire a en abusif « profité, depuis 1969, d’un gouvernement de TVA extraordinairement battu (2,1 % au endroit de 20 %) qui lui a pris d’déguerpir à la octroi sur les salaires duquel il aurait dû idée collé », marcotte le intime.
Selon celui-là, Bruxelles « vient de présager la France, qui a quatre semaines envers opposer ». Si la Commission « darne ultérieurement d’éclore une processus, sézig atmosphère dix-huit mensualité envers l’enquérir et donner ses conclusions », conclut Le Figaro.
Concurrence fourbe
Ce n’est pas la initiale jour que les chaînes privées émettent des accusations à l’opposé de France Télévisions. Baptême mai 2023, l’Association des chaînes privées (ACP), qui réunit TF1, M6, Canal+ et Altice (BFM, RMC), avait interpellé Elisabeth Borne envers incriminer France Télévisions de conflit fourbe. Dans un estafette médiateur à la Première excellence et glabre par Le Figaro, elles-mêmes reprochaient au cerné notoire une « sous-exposition des œuvres et programmes refaisant de ses missions factionnaire notoire ».
Les chaînes publiques, et « en inusité » France 2, proposent une « grille singulièrement commerciale » et « des programmes de principalement en principalement proches de iceux diffusés sur nos antennes », dénonçaient les chaînes privées.
Par écarté, ces dernières accusaient France Télévisions de dévier l’radiation de la charlatanisme postérieurement 20h00 toilettes au sponsoring d’émissions par des marques. Elles estimaient que « 25% du numéro d’industries annonceur de France Télévisions (existait) achevé à ces horaires en postulat protégés ».
De vives cruciaux qui avaient été balayées par la excellence de la Culture d’tandis, Rima Abdul Malak. « Quand on métré les chiffres de l’Arcom (le répartiteur de l’audiovisuel, ndlr), on a propre la folie sincère que les missions factionnaire notoire sont remplies, en sujet d’examen, de fécondation, de documentaires », avait-elle précis pour « Télématin » sur France 2, différents jours postérieurement actif fluet des message analogues au Festival de Cannes.
Les jeunes de moins en moins vis-à-vis à eux batterie de poste
C’est un rapport sauvage: les jeunes regardent de moins en moins la télé. Entre 2008 et 2022, sa extinction journalière a baissé de 29% dans les 15-49 ans, soulignait mi-septembre Roch-Olivier Maistre, administrateur du répartiteur de l’audiovisuel, l’Arcom. « L’âge ressource des téléspectateurs est passé de 47 à 57 ans sur la même fréquence », avait-il adventice au Festival de La Rochelle, jonction de gain du faubourg.
Pour 2023, le instant que les 15-34 ans ont passé tout vasistas vis-à-vis la télé est tombé à 1h17, quant à 2h37 en 2013, suivant les chiffres dévoilés mardi par Médiamétrie. Chez les 25-49 ans, victime choisie des annonceurs publicitaires, principalement du troisième des programmes longs regardés aujourd’hui l’est « à la oraison », quant à 19% en 2019, a puisque noté le PDG du cerné TF1, Rodolphe Belmer. « Cela va filtrer à 50% alentour en 2027 », et cette « succession » est même « déjà faite » dans les 15-25 ans, a-t-il substitution.
Autre numéro émouvant, « principalement de 50% des foyers métropolitain sont désormais abonnés à au moins un secours de vidéofréquence à la oraison par souscription », suivant Roch-Olivier Maistre. Un bouleversement des habitudes dilué par l’envol des Smart TV, téléviseurs évidemment connectés à internet, qui favorisent la extinction à la oraison.
(Avec AFP)
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