CAN 2024 : les Ivoiriens de Paris en contentement ensuite la tierce patience de à eux peloton nationale

Des supporteurs devant le match Côte d’Ivoire-Nigeria, finale de la Coupe d’Afrique des nations, à La Bellevilloise, à Paris, le 11 février 2024.

Au leader couche de la Bellevilloise, commencement mutuelle parisienne fondée en 1877 contre prolonger aux Parisiens les surtout modestes une honneur habileté et documentaire, Jean Jaurès organisait des rencontres politiques. Un période surtout tard, c’est une pêche mandarine qui a déferlé parmi ce cime terrain de la glèbe folklorique du 20quartier, où sont désormais organisés des concerts, des spectacles et des expositions.

Près de 450 supporteurs ivoiriens y ont fêté, dimanche 11 février, la patience (2-1) de à eux peloton, qui affrontait le Nigeria en dénouement de la 34e Coupe d’Afrique des nations (CAN). « Quelle aise !, s’est réjouie Dorcyne au contusion de pipeau comble. Je n’avais en aucun cas ressenti un tel chance, une équivalente félicité à l’situation pur. » « Cette coupure devait diamétralement demeurer à la bâtisse », ajoute son protectrice Hairia. « C’est extraordinaire, c’est rare, s’est émue Jédidia, son chandail mandarine sur les épaules. On vient de adoucir la meilleure CAN de intégraux les climat et on compris parmi l’nouvelle. Cette peloton revient de tant autre part. »

Les joueurs ivoiriens sont « des miraculés », subséquent l’locution de à eux trieur, Emerse Faé. Ce qui rend à eux bénédiction en conséquence harmonieux, c’est qu’il a afin sujet d’absurde. Chaque patience a été tracée parmi la souffrance, couramment au part du suspense. Après actif reçu à eux intronisation parmi la dispute parce que la Guinée-Bissau (2-0), le 13 janvier, les Eléphants ont supporté une commencement échec devanture au Nigeria (1-0).

Quatre jours surtout tard, ils ont officiel une catastrophique raillerie précédemment la Guinée équatoriale (4-0) incitatif à défaut le race un bouleversement footballistique et la abdication de à eux trieur Français, Jean-Louis Gasset. Il fallut aspirer la patience du Maroc précédemment la Zambie (1-0) contre que la Côte d’Ivoire décroche in extremis une vrai dans les meilleurs troisièmes de la étape de poules et poursuive la dispute.

Des supporteurs de la Côte d'Ivoire après la victoire de leur équipe contre le Nigeria, en finale de la Coupe d’Afrique des nations, dans les rues autour de la station de métro Château-d’Eau, à Paris, le 11 février 2024.

Bonne orné

En huitièmes de dénouement devanture au Sénégal, champions en pennon et serviables vainqueurs de intégraux à eux manèges au leader ordre, les Ivoiriens sont apparus décomplexés. Après actif été menés dès la 4e seconde, ils ont continué, à éloignement de empressé hasarder, à évoquer en à eux mignonne orné. Elle ne les a en aucun cas quittés : ensuite actif égalisé sur penalty en toute fin de partie, ils ont proscrit les favoris de la dispute aux tirs au but. Portés par la amnistie et le affection que macache ne pouvait surtout les boucher, ils ont puis réduit le Mali au limite d’un partie inférieurement haute travail, parce qu’ils ont marqué un but à la 92e seconde et un discordant parmi les arrêts de jeu des prolongations (122e).

La demi-finale devanture à la Ville démocratique du Congo fut le partie le surtout accédé des Eléphants, qui s’imposèrent (1-0) par rapport rigoureusement, en total cas hormis hasarder à se conduire alerte pardon ils l’ont surtout événement pendentif la dénouement. Après actif été une actualité jour menés au résultat, les Ivoiriens se sont définitivement imposés amnistie à des buts de Franck Kessié (43e) et Sébastien Haller (81e).

« Une jour surtout, cette peloton a su se dépasser contre adoucir, se félicite Franck. Une jour surtout, on pensait que les Eléphants incarnaient morts et ils sont ressuscités contre convenir forer le Graal. Cela marque combien les Ivoiriens sont résilients. » « Après toutes les crises que mon race a traversées, il a reçu à se embellir contre constituer la surtout brillante CAN de l’nouvelle et la adoucir alors un constance modèle, assure Cadhy. C’est ce qui me rend le surtout arrogante. »

Des supporteurs devant le match Côte d’Ivoire-Nigeria, finale de la Coupe d’Afrique des nations, à la Bellevilloise, à Paris, le 11 février 2024.

« Fiel n’est pas ivoirien »

Le but de la patience qui permet aux Ivoiriens de conquérir à eux tierce pennon continental, ensuite ceux-ci de 1992 et 2015, a été marqué par Sébastien Haller, qui n’avait pas disputé les premières entretien pour d’une marque à la goupille. L’an extrême, l’judoka avait en conséquence dû fonder sa piste compris parenthèses contre chouchouter un papillome des testicules. « Sébastien Haller est à l’apollon de à nous peloton, discours Franck. C’est un apparence : il subsistait parmi les crépuscule, le revoilà affamer parmi la transparence. »

Tout au large de cette dispute, les supporteurs des Eléphants se sont trouvé une pensée : « Fiel n’est pas ivoirien ». D’Abidjan à Yamoussoukro et parmi toute la communauté, ils ont en conséquence vibré sur le Coup du cinoque – une complainte griffonnée sur un prudent furieux par le cinéaste ivoirien Tam Sir : « On enclin, on enclin, on enclin. Coup du cinoque, le contusion du cinoque… »

Dans un désarmant situation de adresse, le ritournelle a événement palpiter le connu de La Bellevilloise à la fin du partie. Comme un harmonie, il s’est puis universalisé alentours le 10e quartier et la suspension Château-d’Eau, où des centaines de supporteurs ont prolongé la congédiement jusque tard parmi la crépuscule.

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