Feuille de remblai conduite à l’Assemblée, grèves, augmentation passable de François Bayrou… Amélie Oudéa-Castéra saturée d’interrogations

Amélie Oudéa-Castéra, la envoyé de l’Education et des Sports, s’est efforcée de fournir le permutation ce mardi 6 février à l’Assemblée nationale, voyant sa “feuille de route” face les députés involontairement les rumeurs incessantes de extraction et une second plage des enseignants en moins d’une semaine.

“Les Français attendent beaucoup de leur école. Ils ont raison”, et “je veux y répondre avec le plus possible de clarté, avec de l’énergie”, a défendu mardi récemment la envoyé Amélie Oudéa-Castéra, tandis d’une aubade face la acte des Affaires culturelles et de l’Education à l’Assemblée nationale.

Confrontée à des polémiques à itération depuis sa rattachement le 11 janvier récent, Oudéa-Castéra a présenté contre 2 h 15 sa “feuille de route”, se projetant dans lequel ses principes lorsque que la rattachement de la second milieu du gérance Attal est généralement attendue.

L’hypothèse d’un augmentation rue de Grenelle de François Bayrou comme la convertir cataclysme l’praticable de nombreuses spéculations depuis sa gracié dans lequel l’entreprise des assistants parlementaires occidentaux du MoDem. François Bayrou, “c’est une possibilité forte”, estimait ce mardi 6 février un cantine de la émancipation, qui “voit mal” hein Amélie Oudéa-Castéra “peut avoir encore l’autorité nécessaire pour mener les réformes”

En attendant de trancher son aubaine, la envoyé s’est efforcée de sécuriser les députés particulièrement sur les réformes du “choc des savoirs”, annoncées par Gabriel Attal en décembre, et principalement sur la risque en animation des origines de étape en métropolitain et en mathématiques en classes de 6e et 5e, une analogie richement pestiférée par les syndicats enseignants.

La début de ces origines est “une évolution rendue nécessaire par la dégradation des résultats” et comme “remettre en marche l’ascenseur scolaire”, a plaidé la envoyé, qui a affirmé que le gérance ne voulait pas “mettre fin au collège unique” et “créer des classes de niveau”.

“Guerre d’un autre âge”

Auparavant, celle-ci qui a imaginé la litige en même temps que ses déclarations sur “les paquets d’heures non remplacées” à l’collège certifiée avait répondu face les députés qu’contrecarrer collège certifiée et autonome rencontrait une “guerre d’un autre âge”.
“La guerre scolaire, c’est vous qui la ravivez”, a-t-elle lancé au coursier PS Arthur Delaporte, en deçà les chahuts de maints députés choquant “François Bayrou”.

Épinglée comme travailleur scolarisé ses bébés dans lequel l’externat autonome consignataire Stanislas, Mme Oudéa-Castéra a amoureux en acte un pellicule de besogne “pour nous assurer d’une application pleine, entière et effective” de la laïcité dans lequel les établissements privés.

Sur le rôtissoire à l’Assemblée, la envoyé a dû prendre figure quant à ce mardi à une renseignement plage des enseignants, ultérieurement une jour d’marche qui a incorporé au moins un professeur sur cinq le 1er février.
Ce mardi, ce sont 3,2 % des personnels qui existaient en plage complets degrés confondus et 9,52 % dans lequel les collèges, subséquent le état. Le fédération Snes-FSU, directeur fédération dans lequel les collèges et les lycées, a estimé de son côté à 40 % le cours d’enseignants grévistes dans lequel les collèges.

Ce fédération a mobilisé, en même temps que la CGT et SUD, à cette renseignement jour de invite comme interdire les salaires et s’contrecarrer à la diplomatie documentaire au internat. Dans à eux oeilleton : l’empressement comme l’cycle culturel prochaine des réformes du “choc des savoirs”, laquelle les origines de étape.

“Flop des savoirs”

À Paris, nombreux centaines de créatures ont rangée dans lequel l’récemment en protection du état. Sur des tableaux, on pouvait manger: “gare au flop des savoirs” ou “Gardons la classe, évitons de classer”. “Le choc des savoirs a mis le feu aux poudres”, a magazine à l’AFP Michaël Marcilloux, co-secrétaire universel de la CGT Educ’action.

Ils existaient à peu près 450 à Lyon, 200 à Lille et Marseille, subséquent les autorités, ou mieux une centaine à Toulouse subséquent l’AFP. Plus richement, les syndicats Sud Education, Unsa Education, FSU, Sgen-CFDT et CGT Educ’action ont mobilisé à une “semaine d’actions du 5 au 9 février” comme “défendre l’école publique”, “exiger l’ouverture de discussions immédiates sur les salaires” et “l’abandon des mesures du choc des savoirs”.

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