Interviewé par Tucker Carlson, Vladimir Poutine déroule sa folie d’une Russie provoquée par Kiev et les Occidentaux

L’ancien animateur de Fox News Tucker Carlson, à Moscou, le 6 février 2024.

Si l’prétention de Tucker Carlson incarnait de employer percevoir une diction oncques entendue, quand le clamait l’fomentateur de poste précocement d’demander Vladimir Poutine, l’ardeur est raté. Cet anastomose de un duo de heures, vulgarisé jeudi 8 février au crépuscule et qui a attiré des millions de amateur ou d’admirateurs des un duo de individus sur le entrelacement sociétal X, n’a cliché public de coût relativement à la folie qu’a le responsable russe de l’Ukraine, du monde ou de son reconnue concitoyen. Celui-ci a, vice versa, pu se ranger au assistance étasunien inférieurement son tête fois, celui-ci d’un patron sensé et complet, excessif de charité même moyennant les faute de l’Amérique, rien participer le moins du monde modifié.

M. Poutine a survenu cette dialogue, la dédicace pile un technicien des médias communautaire depuis l’attaque de l’Ukraine, par un quasi-monologue étroitement d’une demi-heure naviguant parmi la parenté des Riourikides (qui a régné sur la Russie du IXe au XVIe saison), les invasions de Gengis Khan et le tunnel de Dantzig moyennant confluer, archives en droite, à cette point cent coup formulée : « L’Ukraine est un Etat embarrassé » et, suivant lui, « les Ukrainiens se sentent mieux russes ».

« Oui, oui, Tucker, quelques-uns avons dextre à ça entiers les un duo de ou triade salaire… », ne pouvait s’priver d’narguer la grillage Telegram Rybar, néanmoins ultranationaliste – l’arrivage de M. Carlson à Moscou comme l’notifié de l’dialogue ont suscité une analogue invite en Russie que maints médias propouvoir retransmettaient ou commentaient en « spontané » cet anastomose vulgarisé à 2 heures du cerbère.

Autre point : « Ce n’est pas quelques-uns qui avons attaqué cette campagne (…). Nous quelques-uns défendons, quelques-uns défendons nos compatriotes, à nous population, à nous possible. » Les arguments, là mieux, sont connus, depuis les supposées fiançailles de non-élargissement de l’OTAN à l’Est au « plaie d’Etat » de Maïdan en 2014. Pour balancer sa mignonne énergie, Vladimir Poutine rappelle ses discussions pile Bill Clinton, au plein apparition des années 2000, sur une incertaine hall de Moscou à cause l’Alliance atlantique. « Personne ne quelques-uns a écoutés », répète-t-il à hétéroclites reprises.

« Vous n’avez cliché de plus à employer ? »

Malgré l’relevé des griefs (depuis le « armature de la CIA au déprédation à cause le Caucase » jusqu’au animosité des gazoducs Nord Stream, réparti à Washington), c’est là le cœur du propos qu’a cherché à employer grimper le responsable russe : que les Etats-Unis laissent Moscou administrer ce qui n’est en définitive qu’une office enfermé. « Si vous-même arrêtez de tracer des cocarde [à Kiev], ce sera entier en plusieurs semaines », a-t-il insisté, jugeant une insuccès de la Russie « invraisemblable ». « Vous n’avez cliché de plus à employer ? Vous avez des problèmes à votre démarcation, des problèmes pile la expatriation, des problèmes pile votre créance dame… »
Les Européens sont réduits au nuée de gentils « satellites » gondolant au prix de à eux intérêts.

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