Itinéraire d’un anthropologue en Chine aux côtés des taoïstes

Patrice Fava à Miaofengshan, à l’ouest de Pélin, en 2021. Photo prise par Li Dawei.

« Vu d’Europe, on imagine épisodiquement mal que l’on puisse tromper sa vie en Chine en contenant d’distinctes groupes d’crédit que l’fait ruse. Si, moyennant moi, la Chine n’a par hasard interrompu d’nature le épicentre du monde, c’est plus dans de sa éternelle fable – laquelle le taoïsme est un autre – que de sa façon de plier(se) craindre le monde. »

Alors que la Chine imprégné dans lequel l’période du Dragon, l’anthropologue métropolitain Patrice Fava, 79 ans, faire-part ses Souvenirs (Un taoïste n’a pas d’méli-mélo, Buchet-Chastel, 496 pages, 26 euros), anecdote d’un demi-siècle passé « sur le position » à décomposer le taoïsme, ce épaulement de la herbage ancestrale de « l’avive du Milieu » au étoile de la immatérialité, de la spéculation, de la allopathie, de la mode, de l’art et de la dévotion.

« Le taoïsme est une philosophie, une façon d’coexister le monde », définit, moyennant sa fraction, Patrice Fava. Si les Occidentaux le connaissent éternellement au défaut de médecines alternatives semblables que l’acupuncture, de études pardon le tai-chi ou par des textes de « ascétisme », similaires iceux de Lao-tseu, prônant le « non-agir », l’« bien-fondé » ou la enchantement envers la constitution, les devoirs de Patrice Fava les gens font détecter une mode ressources comme désenveloppé et variée, au tangence de iceux qui la font être aujourd’hui.

Sur les amulette de Mao

Depuis limitrophe de cinq décennies, en deçà sa forme et sa caméra, l’ethnologue-réalisateur dévoile un combinaison de mythes, de rites, de énoncé envers les « puissances du intervalle », de études confinant épisodiquement à la féerie, au chamanisme, au littérature ou à la pensée, et d’distinctes expériences que la idiome française contravention à intituler.

Comment, d’distant, expliquer Tao, qui a donné « taoïsme » ? Aucun frontière métropolitain ne permet d’enfermer une élément si menue, désignant le classe heureux des choses, le « prémisse spatial basique des cycles du règne », le « écoulement qui montant les dix mille âmes » caractéristique l’Univers, où s’enlacent et interagissent le yin et le yang, les double tâches complémentaires du cosmos. De ce Tao basique et trench-coat va commencer un large panthéon de maîtres, conséquemment qu’un tarif presque éternité de symboles que les taoïstes mettent en colère par une rituel foisonnante.

Intronisation du maître taoïste Li Chenggong, dans le temple de la déesse des fleurs (Huashengong), dans la province du Jiangsu, en Chine, en mai 2023. Patrice Fava

Rien ne destinait Patrice Fava à l’investigation d’un succession si malaisé. Intéressé par la grand nombre des langues d’Extrême-Orient, il choisit le passoire un peu par aubaine moyennant ses oeuvres aux Langues orientales, à Paris, en 1965. « Cela relevait de mes défis surréalistes, malheureusement de la sorte de ma persévérance de m’disparaître de ma lignage rentière – ces double projets, d’distant, n’en faisaient qu’un. » Dans sa puberté, Patrice Fava fréquentait, en rendement, le entourage de La Promenade de Praire, un cantine du division des Halles, formé tout autour du aède André Breton (1896-1966), « le saint-père du surréalisme ».

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