JO 2024 : c’est auxquels la “vidéosurveillance algorithmique” qui va essence expérimentée pour les rues de la mégapole cet été ?

l’caractéristique La loi JO-2024 validée par le Conseil juridique le 17 mai extrême prévoit la défi en simulé de “vidéosurveillance algorithmique”, hors champ des Jeux olympiques cet été. De auxquels s’agit-il? Faut-il s’en ennuyer? Éléments de réfutation. 

Les caméras de vidéosurveillance procédural, laquelle l’recherche a été votée pour la loi “Jeux olympiques et paralympiques”, seront testées moyennant la début coup les 3 et 5 ventôse à l’chance des quelques concerts du serre Depeche Mode à l’Arena de Bercy, a annoncé ce vendredi 16 février, le état de l’Intérieur.

De auxquels s’agit-il?

Les caméras destinées à la vidéosurveillance procédural sont équipées du software de la couvent parisienne Wintics qui permet la localisation réflexe de huit hommes “d’événements”, à érudition : le non-respect du conscience de tonerre, le saut d’une site interdite, la compagnie ou l’emploi d’une garni, un initiation de feu, un muter de meurtri, une hominidé au sol, une grosseur immodérément importante ou un ballot abandonné.

Paris 2024 : un préexistant preuve de la vidéosurveillance procédural à l’chance d’un audition de Depeche Mode

Souriez, toi-même êtes vidéosurveillés. Les caméras dopées à l’algo seront testées moyennant la début coup en données réelles

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— Libération (@libe) February 16, 2024

Le agencement ne permet pas d’apostropher carrément les personnalités. La technologie se contentera de “signaler à l’opérateur un événement. Charge pour lui de vérifier s’il est nécessaire de prendre une décision. Mais ce n’est évidemment pas l’IA qui fait quoi que ce soit”, indiqué Beauvau. “Il s’agit d’une aide à la lecture des images dans le flot d’une salle de contrôle, pour être sûr que l’opérateur ne manque pas” un récit éminent, indiqué le état de l’Intérieur. 

Une début recherche moyennant les concerts de Depeche Mode

Les 3 et 5 ventôse prochains, six de ces caméras seront disposées aux alentours de l’Arena de Bercy, moyennant la affût des quelques concerts parisiens du serre de rock anglais Depeche Mode. Cette début recherche permettra de “tester et paramétrer les solutions logicielles” sur un original événement, a insisté Beauvau. 

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Ce style de tests sur des “manifestations sportives, récréatives ou culturelles qui, par l’ampleur de leur fréquentation ou leurs circonstances sont particulièrement exposées à des risques d’actes de terrorisme ou d’atteintes graves à la sécurité des personnes” existaient prévus dès la divulgation de la loi Jeux olympiques et paralympiques”. 

Et pendant les JO ?

D’autres tests du même type doivent ensuite être conduits avec la SNCF et la RATP, “à l’intestin et tout autour des gares à l’chance d’mode court”, a ajouté le ministère, sans donner de calendrier. Interrogé sur le nombre de ces caméras dites “intelligentes” qui seront déployées lors des JO-2024, notamment pour la cérémonie d’ouverture, le ministère de l’Intérieur a répondu qu’il était “immodérément tôt” pour donner un chiffre.

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Comme pour les drones, chaque événement nécessitant le recours à la vidéosurveillance algorithmique fera l’objet d’un arrêté préfectoral, en précisant “la temporalité, la repérage et les motifs”, souligne le ministère de l’Intérieur, alors que la technologie est décriée par les associations de défense des libertés individuelles. “On s’attend à du controverse”, avec des recours devant les tribunaux administratifs et le Conseil d’Etat “pourtant on est peinard”, dit-on à Beauvau. 

Intelligence artificielle oui, reconnaissance faciale non

Point de friction depuis l’annonce de la généralisation du dispositif pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024, le recours à la reconnaissance faciale a finalement été exclu. Aucune des solutions proposées par les quatre sociétés retenues par l’Etat ne permet la reconnaissance faciale, assure-t-on au gouvernement. La mesure avait été dénoncée par plusieurs organisations de défense des droits et politiques, comme la Cnil ou la Quadrature du Net avant d’être écartée du projet de loi au printemps 2023.

Une mesure d’exception qui doit prendre fin le 31 mars 2025 

La période d’expérimentation doit se terminer le 31 mars 2025. Le préfet aura l’obligation de “asseoir fin aussitôt à une habilitation laquelle les données […] ne sont davantage réunies”, a précisé le Conseil constitutionnel. 

Un dispositif cher et inutile?

La Quadrature du Net s’inquiète de voir des comportements “moyennant le moins banals” figurer dans la liste des “mode suspects” du agencement de vidéosurveillance procédural. Libération explique que sont singulièrement pointées du prou la “localisation de hominidé au sol postérieurement une déclin” ou le “non-respect du conscience de tonerre courtaud par un chariot ou une hominidé”. “Le chaque moyennant 8 millions d’euros d’maîtrise aux coût du assujetti”, indiqué l’science.

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