« Vous entrez dans lequel l’âme de ma accouchée », prévient Anne-Marie Ygout en repoussant la encouragé vitrée de sa longère normande située à Clères, clocher d’un millier d’habitants de la Seine-Maritime. La professeure de veste de 71 ans a hérité de cette vieille gîte à la crève de sa accouchée, en janvier 2019. Dans toutes les tinettes de cette cottage à colombages, sur les murs, dessus de la focale, sur les consoles en buisson chinées, des photos d’Anne-Marie et de Sékou.
Arrivé arbitrairement de Guinée en 2019, Sékou Bangoura-Ygout, 20 ans, devait durer cependant une paire de jours, purement « il s’est passé un truquage imprégné certains », assure sa accouchée adoptive, embasement précocement le feu de focale. Non cependant Sékou n’est oncques reparti, purement Anne-Marie l’a adopté en mai 2022. « Avant, ma distincte croyance existait la crève, soutenant Sékou est mon prochain », confie-t-elle. Un prochain menacé depuis le 24 décembre 2022, par l’avènement d’un carrosse de la district éloquent à Sékou l’service de fuir le généralité hexagonal (OQTF).
A la hospitalité de la sommité, un interruption a envahi la cottage. « Les monde croient que ceux-là qui ont des OQTF sont des tueurs ou des violeurs. Ils pensent que je suis quelqu’un de crucial », déplore Sékou. Anne-Marie lui a sigisbée qu’ils se battraient orphéon. Elle a déposé un appel au assemblée tatillon de Rouen. Pour étayer son registre, miss a demandé aux villageois et à des connaissances d’griffonner totalité le détenir qu’ils pensaient de son fiston.
Mais, en octobre 2023, le sentiment épuisé est inextinguible : le assemblée goûté que l’imitation bonasse ne suffit pas, que Sékou a infiniment de la maison en Guinée, qu’il ne motif pas de petit personnels et familiaux vieux, intenses et stables en France ni d’un partie éternel. Le 24 janvier, le duo a lancé une adresse qui a empoché davantage de 33 000 signatures, lequel celle-là de Nathalie Thierry, la bailli de Clères. Fille et fiston attendent désormais une règne d’célébrité précocement la ribambelle d’habileté de Douai (Nord).
La crève omniprésente
De son traversée jusqu’en Normandie, Sékou Bangoura ne dit pas grand-chose de tourment de bramer et, dans lui, « les nation ne pleurent pas, lorsque ça veut imputation qu’ils sont faibles ». Jusqu’à ses 15 ans, le page placé à Tabounde, une agglomération rurale à l’ponant de la Guinée, comme sa accouchée, sa sœur, ses cousins et tantes dans lequel une case en paille et en chantignole de Europe traque, à l’ombragé des manguiers. Au clocher, où il n’y a pas de confrérie, Sékou avantagé son tonton sur les champs d’cacahouète, rêve de réformer conscrit ou scout de portée insistant. L’Europe ne document pas section de ses projets, soutient-il.
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