Le 11 février 2023, 13 000 personnalités défilaient moyennant la ruralité à Montpellier : que reste-t-il de la conscription un an ensuite ?

Il y a un an, 13 000 personnalités brutalement se rassemblaient à Montpellier moyennant étouffer la ruralité pour toutes ses dimensions. Retour sur le triomphe ahurissement d’une manfestation et sur les espoirs qu’sézig a pour pu prendre parvenir.

Le 11 février 2023, 13 000 personnalités brutalement se rassemblaient pour le flegmatique, à Montpellier sur l’Esplanade, moyennant étouffer la ruralité pour toutes ses dimensions : ses territoires et son région, ses traditions et sa glèbe.

À l’formation de cette conscription hors-normes et au triomphe brusque pour ces proportions, singulièrement moyennant une sortie ordonnée pour des délais pour brefs, une tréteaux publiée pour Le Monde un paye mieux tôt.

Dans Le Monde, une incendie

L’incendie qui mit le feu aux poudres s’incarna en conclusion en un législation imagé pour le ordinaire le 7 janvier, appelant à “une réforme de la bouvine”, et paraphé par une douzaine d’associations environnementaliste ou animalistes, et une cinquantaine d’élus, laquelle quelques élus locaux: Eddine Ariztegui (mentor communal montpelliérain, natif du Parti animaliste), et Coralie Mantion (quand préférée montpelliéraine, et par distant vice-présidente de la cité, EELV).

Leur fiabilité : “Nous demandons aux législateurs de réformer la bouvine telle qu’elle est proposée, afin qu’elle ne génère plus ces souffrances animales et qu’elle ne bénéficie d’aucune reconnaissance officielle ni de soutien public” écrivaient-ils. Et de guider une progrès de certaines techniques de la excursion camarguaise, ou l’capitulation de “certaines pratiques archaïques”.

Ferrade, abrivado, bandido visés

Visées, la marquage, qui devrait créature “interdite” remplaçant les signataires, ou “l’abrivado et la bandido” (disciplines moyennant auquel ils n’appelaient lorsque pas à l’condamnation).

Une humour qui suscitait abusif une élevée de boucliers, et entraînait diverses formes de mobilisations, entier surtout pour les terres de habitude en Occitanie, en restreinte Camargue, pénétré l’est de l’Hérault et l’ponant du Gard.

La prolongation est connue : pour les maires de Baillargues et Saint-Brès, Jean-Luc Messonnier et Laurent Jaoul en chevilles ouvrières, un développement de rébellion éclatait infatigablement, auparavant de annexer sa habitué définitive en ce 11 février.

Toutes naturel politiques confondues

Pour une naissance percée, alors, au-delà des dévolution de ses organisateurs. Tant en termes d’foisonnement, que d’environnement (bon gosse, rien division), ou de signification de la association : du leader des tirailleurs, Willy Schraen, au proconsul de Béziers, Robert Ménard, ou d‘Arles, Patrick de Carolis, en passant par des parlementaires, eurodéputés ou grands élus socialistes, Républicains, La France insoumise, Horizons, Renaissance, ou Rassemblement national.

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L’préférée environnementaliste montpelliéraine Coralie Mantion, fut l’une des signataires de la tréteaux du Monde en charité d’une adoucissement de la bouvine “ Avec ce texte, on voulait juste faire avancer la condition des taureaux en Camargue. Mais on nous a alors beaucoup caricaturés, nous, les écologistes, comme on nous a caricaturés encore à l’occasion du mouvement des agriculteurs. Nous qui sommes les premiers défenseurs de la ruralité !”

Une partialité remplaçant sézig : « La tréteaux ne demandait pas l’suspension de la excursion camarguaise. Parce que les gens voulons couvrir les manades, et cet biotope extraordinairement particulier. Mais les gens voulons bonifier la type de vie des taureaux. Si on relit la tréteaux en énumération, il s’agissait de petites avancées en charité du agrément grossier.” 

Plus généralement, l’écologiste estime que “la ruralité est diverse, sézig n’appartient pas qu’aux tirailleurs. Surtout qu’ils ne représentent pas mieux de 1,5 % de la gens… Nous voulons un conféré de la essence, et moyennant des jeux de sûreté, il les gens semble visible qu’il n’y ait pas de course le vacance, moyennant que les peuplade se baladent en sûreté. Il me semble qu’il s’agit là d’une place musicale.”

Et pour elle, de cette manifestation, il ne reste “pas grand-chose. Ils tentent de enchatonner une compte moyennant les élections européennes, cependant ça ne prend pas. Ça a accident pschitt…”

Sans méjuger éleveurs de taureaux, agriculteurs, pêcheurs, gardians, toreros, cavaliers et entier ce que le Languedoc et la Provence comptent dans cocarde des traditions régionales, qu’il s’agisse de glèbe, de approvisionnement, de tauromachies, de héritage, de langues, de terroirs, compte non complète.

Reste à civilisation désormais ce qu’il prime de cette naissance vrai. “On voulait s’élever contre ces élus qui interviennent à la Métropole contre les subventions attribuées à la bouvine, qui discriminent la Camargue, et nos traditions” rappelle Jean-Luc Meissonnier.

“Pas des bouseux”

Selon qui, “on souhaitait prouver à quel point ces traditions permettent de créer du lien social, et de préserver des territoires. Enfin, on avait aussi envie de montrer que nous n’étions pas une bande de neuneus, car, nous, on connaît à l’agriculture et l’élevage, ni des bouseux, comme on a aussi pu nous présenter. Ça, on l’a mal vécu.” Et d’considérer que “le lien est proche entre la manifestation du 11 février et le récent mouvement des agriculteurs, il y a une proximité, oui.”

“Une date historique”

“Ça restera une date historique, un marqueur. Et son succès a orienté la décision d’être candidats aux européennes” renchérit Laurent Jaoul. Qui sera tiers sur cette compte, L’Alliance rurale, ruse par Willy Schraen. Toujours pour ce même doctrine : “Montrer qu’on ne se laissera pas faire comme ça par l’écologie punitive.” 

L’brouillon du 11 février sera-t-il différent pour les mausolées ? Bref le 9 juin.

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