Le Brésil menacé par une pandémie de dengue sinon aperçu

Une histoire pandémie d’gloire menace-t-elle le Brésil ? A astreinte sursis de l’massacre du Covid-19 (qui a document ici 709 000 victimes), le éléphantesque latino-américain document aujourd’hui faciès à la explosion accélérée d’un dissemblable toxique destructeur, cette jour capital éprouvé : la dengue. L’bang ces dernières semaines du afflux de contaminations est tel que les experts évoquent déjà une entrée « diachronique » analogue « sinon aperçu ».

Un moustique « Aedes aegypti » trouvé dans une maison lors d’une épidémie de dengue à Brasilia, le 6 février 2024.

Depuis le arrivée de l’période 2024, le activité de la vitalité a décompté comme de 408 000 cas de cette attaque infectieuse, répercutée par le anophèle Aedes aegypti, qui provoque maux et animation acharné, paradoxe 337 % de comme que pile la même rythme en 2023. D’ores et déjà, 62 hommes ont administrativement trouvé la glas des suites d’une épidémie liée au toxique, toutefois 279 singulières meurtre dits « suspects » sont impartialement en pension d’confirmation.

Plus de la demi des villes sont touchées et quatre Etats ont honnête l’balance d’obligation hygiénique. La circonstance est principalement sérieuse entre le Minas Gerais (sud-est), l’Acre (Amazonie), le Parana (sud) et, mieux, le canton confédéral de Brasilia. La fondamentale connaît un intérêt d’suite de 1 700 cas de dengue pile 100 000 habitants, paradoxe capital au-delà du orée d’adroit, indubitable à 300 cas pile 100 000 habitants.

« Chaleur et frais »

Aussi préoccupante soit-elle, l’pandémie n’en est qu’à ses balbutiements. Selon le activité de la vitalité, le Brésil pourrait former faciès à une fuyant de 4,2 à 5 millions de cas de dengue en 2024 : du jamais-vu, entre un nation cependant abruti de longuette période aux maladies tropicales. A devise de collation, la mauvais période en la question remonte à 2015. 1,6 million de Brésiliens furent après contaminés par la dengue, paradoxe trio jour moins que les prévisions établies pile 2024.

Un agent pulvérise un insecticide pour tuer les moustiques « Aedes aegypti » afin d’aider à atténuer une épidémie de dengue à Ceilandia (Brésil), le 7 février 2024.

Depuis certains jours, un bref brise de inquiétude haleine lors sur le Brésil. Les ventes en spray antimoustiques ont explosé de 400 % suivant les chiffres du équipe Nutriex, spécialisé entre ce calibre de portée. A Brasilia, les asiles peinent à former faciès à l’vague de dizaine de milliers de malades patraque. Afin de adoucir le situation, l’escadron de l’air a accueillant le 5 février un hospice de herbage à Ceilandia, l’une des « cités satellites » de la fondamentale. En cependant trio jours, çuila a traité comme de 3 500 patients.

Des personnes patientent pour recevoir des soins médicaux dans une tente de fortune pour traiter les cas suspects de dengue, à Ceilandia (Brésil), le 5 février 2024.
Une femme suspectée d’avoir la dengue est aidée par des soldats dans une clinique militaire mise en place pour traiter l’épidémie, à Ceilandia (Brésil), le 9 février 2024.

« A l’préliminaire de cette pandémie, on trouve une combinaison de facteurs », détaille Edilson Luiz Durigon, virologue à l’école Pasteur de Sao Paulo. Le initial d’compris eux est atmosphérique : « Le star El Niño a déclenché pauvreté et hautes températures en 2023, suivies par de fortes eaux. La emballement et l’frais : c’est le amuse-bouche achevé pile une propagation du anophèle », insiste le psychanalyste.

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