Les banques françaises se sortent entreprenant d’une cycle 2023 belle

Près de 11 milliards d’euros de gain net annal moyennant BNP Paribas, un prouesse ; principalement de 8,2 milliards d’euros moyennant le massé Crconstitution agraire, au principalement cime ; principalement de 4,1 milliards moyennant le Crconstitution symétrique Alliance fédérale, un conquête « diachronique » : l’cycle 2023 a été cortège moyennant ces trio grands coeurs bancaires hexagonal.

Le courbe est principalement nuancé moyennant Société avant-première, qui accuse une effondrement de 7,6 % de ses revenus purement un conquête net de 2,5 milliards d’euros, en croissance de 36,6 % au sujet de à celui-là de 2022, plombé par les tâches exceptionnelles liées à la insulte du massé du marché russe. La firme, qui fosse à agencer sa efficience, avait supposé vigilance d’présager dès le 5 février son réserve de détruire 947 postes à son chaire parisien moyennant amaigrir ses coûts.

De son côté, BPCE accuse un reculade de 25 % de ses opimes annuels, à 2,8 milliards d’euros. Le massé qui réunit les Banques populaires et les Caisses d’économie a en résultat été le principalement affecté en 2023 par l’suite photomaton de la montée des pourcentage d’prérogative de la Banque pénitencier communautaire (BCE) sur les marges des activités de intérêt.

Les cinq essentiels acteurs du lieu financier hexagonal affichent conséquemment 28,6 milliards d’euros de bénéfices cumulés en 2023, un influence en croissance intimement de 8 % sur un an. Une succès principalement qu’digne, qu’elles-mêmes doivent en chapitre à la gentille élégance de à eux activités de subvention des grandes affaires et de marchés, venues harmoniser la rouille des marges d’prérogative comme le intérêt aux rares et aux petites affaires.

Augmentation des coûts

Le corvée est inséré depuis beaucoup : la influence des prêts à pourcentage fixes empêche les établissements de intérêt de réverbérer purement la croissance de à eux coûts de subvention, un dispositif que ne récit qu’affabuler l’hâte des intérêts à renverser sur les produits d’économie réglementée, Livret A en culminant.

« Les banques françaises sont aujourd’hui un peu “coincées” par des portefeuilles de prêts à l’logement accordés à des pourcentage fixes bas et moyennant des durées énormément longues, qui génèrent énormément peu d’intérêts, résume Simon Outin, responsable de la raffiné intérêt sur le lieu trésorier dans Allianz Global Investors. La précaution sera doigt meilleure en 2024, purement il ne faut pas s’lambiner à un rebondissement extraordinaire. » La désir d’une affaissement des pourcentage de la BCE récit en résultat affirmer une quiétude au lieu. Nicolas Namias, le administrateur du ordo de BPCE, confirme conséquemment penser sur une « modulation » des marges nettes d’prérogative à l’été 2024.

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